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© Belgian Presidency of the Council of the European Union / Vlad Vanderkelen

Le Ministre wallon de la Recherche et l’Innovation, Willy Borsus, a accueilli ses homologues européens à la Hulpe afin de discuter du futur programme-cadre européen, ainsi que des trois priorités de la Présidence pour la Recherche et l’Innovation (R&I) : l’autonomie stratégique, la valorisation des connaissances, et le renforcement du rôle de la Recherche.

 

Le 14 février, une visite a été organisée chez IBA, entreprise innovante basée à Louvain-la-Neuve et spécialisée dans le traitement du cancer. Étant à l’origine un spin-off de l'UCLouvain, IBA a réussi, au cours des trente dernières années, à devenir le leader mondial de la protonthérapie. L'évolution remarquable de cette entreprise belge témoigne de manière exemplaire de l'utilisation de la R&I pour répondre aux enjeux de la société.

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Autonomie, valorisation et renforcement

Au cours de la réunion, les 27 ministres ont examiné diverses questions découlant des priorités de la Présidence belge du Conseil de l’UE.

 

La Belgique s'est engagée à promouvoir une autonomie stratégique ouverte au sein de l’Union Européenne, afin de renforcer la capacité de l’Union à agir de manière autonome en collaboration avec ses partenaires mondiaux. La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si la R&I peut encore se développer davantage en Europe, afin de soutenir ce concept d’autonomie stratégique.

 

Une autre priorité de la Présidence belge est de renforcer la valorisation des connaissances. Les ministres se sont interrogés sur les façons de transférer plus de connaissances vers des applications techniques, et donc vers de la création d’activité et d’emploi. Enfin, la Belgique souhaite intensifier le rôle de la R&I pour relever les défis sociétaux majeurs tels que la santé, la digitalisation et la décarbonation industrielle.

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Evaluation du programme-cadre et stabilisation du budget

Durant la conférence de presse qui a suivi la réunion informelle, la Commissaire européenne Iliana Ivanova a souligné le succès du programme Horizon 2020 - qui permis d’engranger 5 euros pour chaque euro investi - et l’importance d’un budget au moins aussi important pour le prochaine programme cadre de la R&I.

 

Les échanges lors de la réunion ont en effet confirmé le désir des états membres de préserver le budget alloué à la Recherche & l’Innovation. Les délégations ont mis en avant la nécessité d'assurer la prévisibilité du programme tout en soulignant l'importance de la flexibilité des financements, pour s'adapter rapidement aux évolutions. L'importance d'une meilleure coordination entre les divers instruments de financement existants a été fortement soulignée, ainsi que l'urgence d'accélérer la mobilité des chercheurs, pour renforcer les liens entre les sphères politique, académique et industrielle.

 

Cette réunion informelle à la Hulpe visait à préparer le Conseil formel du 23 mai, durant lequel les participants aborderont à nouveau le point crucial du programme cadre, et réinsisteront sur la nécessité de ne pas diminuer le budget pour atteindre les objectifs susmentionnés. La Présidence belge a proposé un texte de conclusion du Conseil sur le programme Horizon 2020

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La R&I en Wallonie 

La Recherche constitue un moteur indispensable de l’économie, c’est pourquoi elle a reçu un soutien financier significatif en Wallonie ces dernières années. Elle occupe notamment une place centrale dans l’actuel Plan de relance et bénéficie du budget le plus important parmi les compétences économiques : 728 millions € sur toute la durée du plan. Au cours des deux dernières décennies, la Wallonie a réalisé d'importants investissements pour renforcer sa capacité d'innovation, lui valant la reconnaissance européenne de 'région forte en innovation'.

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

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Le Ministre wallon de la Recherche et l’Innovation, Willy Borsus, a accueilli ses homologues européens à la Hulpe afin de discuter du futur programme-cadre européen, ainsi que des trois priorités de la Présidence pour la Recherche et l’Innovation (R&I) : l’autonomie stratégique, la valorisation des connaissances, et le renforcement du rôle de la Recherche.

 

Le 14 février, une visite a été organisée chez IBA, entreprise innovante basée à Louvain-la-Neuve et spécialisée dans le traitement du cancer. Étant à l’origine un spin-off de l'UCLouvain, IBA a réussi, au cours des trente dernières années, à devenir le leader mondial de la protonthérapie. L'évolution remarquable de cette entreprise belge témoigne de manière exemplaire de l'utilisation de la R&I pour répondre aux enjeux de la société.

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Autonomie, valorisation et renforcement

Au cours de la réunion, les 27 ministres ont examiné diverses questions découlant des priorités de la Présidence belge du Conseil de l’UE.

 

La Belgique s'est engagée à promouvoir une autonomie stratégique ouverte au sein de l’Union Européenne, afin de renforcer la capacité de l’Union à agir de manière autonome en collaboration avec ses partenaires mondiaux. La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si la R&I peut encore se développer davantage en Europe, afin de soutenir ce concept d’autonomie stratégique.

 

Une autre priorité de la Présidence belge est de renforcer la valorisation des connaissances. Les ministres se sont interrogés sur les façons de transférer plus de connaissances vers des applications techniques, et donc vers de la création d’activité et d’emploi. Enfin, la Belgique souhaite intensifier le rôle de la R&I pour relever les défis sociétaux majeurs tels que la santé, la digitalisation et la décarbonation industrielle.

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Evaluation du programme-cadre et stabilisation du budget

Durant la conférence de presse qui a suivi la réunion informelle, la Commissaire européenne Iliana Ivanova a souligné le succès du programme Horizon 2020 - qui permis d’engranger 5 euros pour chaque euro investi - et l’importance d’un budget au moins aussi important pour le prochaine programme cadre de la R&I.

 

Les échanges lors de la réunion ont en effet confirmé le désir des états membres de préserver le budget alloué à la Recherche & l’Innovation. Les délégations ont mis en avant la nécessité d'assurer la prévisibilité du programme tout en soulignant l'importance de la flexibilité des financements, pour s'adapter rapidement aux évolutions. L'importance d'une meilleure coordination entre les divers instruments de financement existants a été fortement soulignée, ainsi que l'urgence d'accélérer la mobilité des chercheurs, pour renforcer les liens entre les sphères politique, académique et industrielle.

 

Cette réunion informelle à la Hulpe visait à préparer le Conseil formel du 23 mai, durant lequel les participants aborderont à nouveau le point crucial du programme cadre, et réinsisteront sur la nécessité de ne pas diminuer le budget pour atteindre les objectifs susmentionnés. La Présidence belge a proposé un texte de conclusion du Conseil sur le programme Horizon 2020

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La R&I en Wallonie 

La Recherche constitue un moteur indispensable de l’économie, c’est pourquoi elle a reçu un soutien financier significatif en Wallonie ces dernières années. Elle occupe notamment une place centrale dans l’actuel Plan de relance et bénéficie du budget le plus important parmi les compétences économiques : 728 millions € sur toute la durée du plan. Au cours des deux dernières décennies, la Wallonie a réalisé d'importants investissements pour renforcer sa capacité d'innovation, lui valant la reconnaissance européenne de 'région forte en innovation'.

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

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© Société Nationale de l'Acadie

La Société Nationale de l’Acadie et la Fédération Wallonie-Bruxelles sont heureuses d’annoncer la signature de leur nouvelle entente de collaboration. Le protocole de collaboration a été signé le 14 février à Moncton (Canada), par le Président de la SNA, Monsieur Martin Théberge, et le Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec, Monsieur Yann Gall,  en présence du Groupe des Ambassadeurs et Ambassadrices francophones d’Ottawa.

« L’année 2024 marque le 40ème anniversaire de notre collaboration avec la Communauté française de Belgique » a souligné Martin Théberge, Président de la SNA, « et nous sommes ravis de poursuivre notre travail et notre relation de peuple à peuple sur de nouvelles bases. »

« Nous sommes heureux de pouvoir établir une relation durable avec l’Acadie. Cette entente renouvelée permettra à nos deux peuples de continuer leurs échanges, de partager leurs expériences et expertises et surtout d’agir en solidarité pour faire briller le français dans nos juridictions respectives » a conclu Monsieur Yann Gall, Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec.

signature_accord_fwb_acadie_02.jpg
M. Yann Gall, Délégué général Wallonie-Bruxelles au Québec, M. Martin Theberge, Président de la Société Nationale de l'Acadie / © Société Nationale de l'Acadie

Le nouveau protocole de collaboration porte sur les 10 prochaines années et innove par rapport à la dernière entente signée en 2014. En effet, en plus de préciser les thématiques privilégiées par les deux parties – l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la jeunesse et la promotion de la langue française –, l’entente établit les paramètres d’un dialogue soutenu entre les deux peuples de façon à encourager une coopération accrue et des échanges soutenus dans les domaines de la culture, de l’éducation et de l’économie.

La Société Nationale de l’Acadie et la Fédération Wallonie-Bruxelles sont heureuses d’annoncer la signature de leur nouvelle entente de collaboration. Le protocole de collaboration a été signé le 14 février à Moncton (Canada), par le Président de la SNA, Monsieur Martin Théberge, et le Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec, Monsieur Yann Gall,  en présence du Groupe des Ambassadeurs et Ambassadrices francophones d’Ottawa.

« L’année 2024 marque le 40ème anniversaire de notre collaboration avec la Communauté française de Belgique » a souligné Martin Théberge, Président de la SNA, « et nous sommes ravis de poursuivre notre travail et notre relation de peuple à peuple sur de nouvelles bases. »

« Nous sommes heureux de pouvoir établir une relation durable avec l’Acadie. Cette entente renouvelée permettra à nos deux peuples de continuer leurs échanges, de partager leurs expériences et expertises et surtout d’agir en solidarité pour faire briller le français dans nos juridictions respectives » a conclu Monsieur Yann Gall, Délégué général de Wallonie-Bruxelles à Québec.

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M. Yann Gall, Délégué général Wallonie-Bruxelles au Québec, M. Martin Theberge, Président de la Société Nationale de l'Acadie / © Société Nationale de l'Acadie

Le nouveau protocole de collaboration porte sur les 10 prochaines années et innove par rapport à la dernière entente signée en 2014. En effet, en plus de préciser les thématiques privilégiées par les deux parties – l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la jeunesse et la promotion de la langue française –, l’entente établit les paramètres d’un dialogue soutenu entre les deux peuples de façon à encourager une coopération accrue et des échanges soutenus dans les domaines de la culture, de l’éducation et de l’économie.

Documents liés

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Créé en 2013, le Réseau Mondiale des Villes Apprenantes (GNLC) a pour objectif de développer la cohésion sociale, le développement économique et le développement durable dans les zones urbaines. Plus d’une décennie plus tard, le GNLC compte 356 villes à son actif et ce sont plus de 390 millions de citoyens qui bénéficient de ses actions.

 

Concrètement, une ville membre comporte 6 caractéristiques : 

  • “Elle mobilise efficacement ses ressources dans tous les secteurs pour favoriser un apprentissage inclusif, allant de l’éducation de base à l’enseignement supérieur. 

  • Elle ravive l’apprentissage dans les familles et communautés. 

  •  Elle facilite l’apprentissage pour l’emploi et au travail.

  • Elle étend l’usage des techniques modernes d’apprentissage.

  • Elle améliore la qualité et l’excellence de l’apprentissage. 

  • Elle favorise une culture de l’apprentissage tout au long de la vie.” (Site Unesco Institut pour l’apprentissage tout au long de la vie) 

Pour la ville de Liège rejoindre ce réseau permettra de bénéficier d’une représentation sur la scène internationale, mais également, d’échanger avec d’autres membres de l’expertise, des bonnes pratiques et de contribuer ainsi à la construction d’une société inclusive et juste. 

Le Réseau Mondial des Villes Apprenantes est également un acteur clé dans la réalisation des “Objectifs de Développement Durable” (ODD)  des Nations Unies. Plus précisément elles agissent sur les ODD 4 "Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie" et l'ODD 11 "Rendre les villes et les établissements humains inclusifs, sûrs, résilients et durables".

 

 

Créé en 2013, le Réseau Mondiale des Villes Apprenantes (GNLC) a pour objectif de développer la cohésion sociale, le développement économique et le développement durable dans les zones urbaines. Plus d’une décennie plus tard, le GNLC compte 356 villes à son actif et ce sont plus de 390 millions de citoyens qui bénéficient de ses actions.

 

Concrètement, une ville membre comporte 6 caractéristiques : 

  • “Elle mobilise efficacement ses ressources dans tous les secteurs pour favoriser un apprentissage inclusif, allant de l’éducation de base à l’enseignement supérieur. 

  • Elle ravive l’apprentissage dans les familles et communautés. 

  •  Elle facilite l’apprentissage pour l’emploi et au travail.

  • Elle étend l’usage des techniques modernes d’apprentissage.

  • Elle améliore la qualité et l’excellence de l’apprentissage. 

  • Elle favorise une culture de l’apprentissage tout au long de la vie.” (Site Unesco Institut pour l’apprentissage tout au long de la vie) 

Pour la ville de Liège rejoindre ce réseau permettra de bénéficier d’une représentation sur la scène internationale, mais également, d’échanger avec d’autres membres de l’expertise, des bonnes pratiques et de contribuer ainsi à la construction d’une société inclusive et juste. 

Le Réseau Mondial des Villes Apprenantes est également un acteur clé dans la réalisation des “Objectifs de Développement Durable” (ODD)  des Nations Unies. Plus précisément elles agissent sur les ODD 4 "Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie" et l'ODD 11 "Rendre les villes et les établissements humains inclusifs, sûrs, résilients et durables".

 

 

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Théâtre des Doms

(c) J. Van Belle - WBI

La mission principale du Théâtre des Doms est de contribuer au rayonnement d’artistes, de créations et de projets artistiques issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles, par la promotion et la diffusion des œuvres et des artistes.

Il est géré par une association sans but lucratif composée de professionnelles et de professionnels des arts et de la culture et financée principalement par Wallonie Bruxelles International, l’administration des relations internationales de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Le théâtre est ouvert à l’ensemble des disciplines artistiques, essentiellement en arts de la scène, mais soutient également certaines formes des arts visuels, comme le dessin ou la photographie de plateau de théâtre.

Les choix de programmation s’orientent vers des œuvres aux dimensions contemporaines affirmant le regard actuel des artistes, l’innovation et l’exigence artistique des créations belges francophones.

Le Théâtre des Doms inscrit son action dans la permanence et le long terme et propose une saison en deux temps, le printemps et l’automne. Il aime à construire des projets collaboratifs avec des partenaires locaux, nationaux, européens et/ou issus de la francophonie.

Un développement à l’international

Dans le cadre de ses missions d’accompagnement des oeuvres en arts de la scène programmées aux Doms, le théâtre poursuit son dispositif d’accompagnement à la diffusion.

Le théâtre poursuit sa collaboration avec le réseau d’information sur la mobilité culturelle : On the Move,
pour des sessions collectives et individuelles porteuses de conseils, de ressources et de réflexion pour les équipes programmées.

Comptant plus de 60 membres dans plus de 25 pays en Europe et à l’international, On the Move fait bénéficier aux compagnies de la Fédération Wallonie-Bruxelles de conseils d’expert.es et de personnes-ressources sur des questions en lien avec la diffusion en France, en Europe et à l’international.

L’idée via ce programme est d’accompagner les équipes pour Avignon mais également au-delà du Festival, sur des enjeux de compréhension et de positionnement plus ancrés sur l’international.

 

Contacts

Théâtre des Doms

Administration au Théâtre des Doms

Communication & publics au Théâtre des Doms

Régie Générale au Théâtre des Doms

Coordonnées

Adresse

Rue des Escaliers Sainte-Anne 1bis
84000 Avignon
France

Contacts

Théâtre des Doms

Administration au Théâtre des Doms

Communication & publics au Théâtre des Doms

Régie Générale au Théâtre des Doms

Fiche pays

Centre culturel Wallonie-Bruxelles à Kinshasa

Le Centre Culturel Wallonie-Bruxelles à Kinshasa existe depuis 1986 et a fonctionné sans discontinuer, quelle que soit la situation dans le pays. Ce lieu est reconnu par les congolais comme un des rares lieux d’expression libre et dans ce sens, le centre participe activement à la diplomatie culturelle de Wallonie-Bruxelles au Congo.

Les congolais se souviendront que même dans les moments les plus difficiles de leur histoire récente, le centre est la seule institution qui est restée ouverte, à leurs côtés.

La raison d’être du centre culturel est de faire connaître les artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) au Congo et de faire émerger les artistes congolais sur la scène internationale en leur apportant les outils et les compétences qui leurs manquent.

Désireux de renforcer notre influence au Congo en capitalisant sur cette longue histoire faite de succès, le centre a été entièrement reconstruit en 2022.  C’est aujourd’hui la plus belle scène de Kinshasa. Une scène vibrante puisqu’elle accueille chaque jour danseurs, musiciens, plasticiens, photographes, conférenciers, cinéastes…

Cet investissement majeur est le témoignage de la volonté de la FWB d’amplifier son action en RDC en attirant d’avantage de talents venant de la FWB à Kinshasa. C’est d’ailleurs pourquoi les installations permettront désormais de recevoir des artistes en résidence.

Parmi les succès marquants du centre, l’inscription de la Rumba congolaise au patrimoine universel immatériel de l’humanité.

Le centre culturel est actuellement animé par M. Brain Tshibanda, figure reconnue de la scène artistique au Congo depuis 1981.

Contacts

Centre Wallonie-Bruxelles

Directrice du Centre Wallonie-Bruxelles, gestionnaire des dossiers culturels

Coordonnées

Adresse

Avenue des Aviateurs 66
Kinshasa-Gombe
Congo-Kinshasa

Contacts

Centre Wallonie-Bruxelles

Directrice du Centre Wallonie-Bruxelles, gestionnaire des dossiers culturels

Fiche pays

© Belgian Presidency of the Council of the European Union / Elodie Meunier - WBI

La conférence ministérielle et d’experts en économie sociale, portée par les trois Régions et organisée au Palais des Congrès de Liège, constituait une première en Belgique dans le cadre d’une Présidence du Conseil de l’Union européenne.

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Experts et citoyens réunis autour des transitions

La conférence d’experts, "L’Économie Sociale au cœur des Transitions", a réuni plus de 600 congressistes. Plus de 60 orateurs belges et internationaux ont animé de nombreuses sessions plénières, tables rondes et workshops autour de trois thématiques : la transition inclusive, la transition verte et la transition numérique. 

 

Le Palais des Congrès de Liège a également accueilli un ‘Village de l’Économie Sociale’, dans lequel les participants ont pu découvrir les réalisations d’entreprises et initiatives belges d’économie sociale, mais aussi l’implication des institutions européennes, administrations publiques, fédérations et autres acteurs de l'écosystème. Plusieurs visites d’entreprises d’économie sociale ont été organisées en Province de Liège et en Flandre, dans la Province du Limbourg.

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Deux accords majeurs pour l'économie sociale dans l'UE

Durant la conférence ministérielle du 12 février, les Etats membres ont signé, sur proposition de la Belgique, la Feuille de route de Liège 2024 pour l’avenir de l’économie sociale. Dans la continuité de la Présidence espagnole, ce texte a pour ambition de fixer 25 mesures prioritaires en économie sociale à entreprendre par le Conseil de l’Union européenne et la future Commission européenne lors de la programmation européenne 2024-2029.

 

La Présidence belge a également obtenu l’institutionnalisation du Comité de suivi de la Déclaration de Luxembourg. Cette déclaration établit que l'UE doit parvenir à une compréhension commune du champ d'application de l'économie sociale, qui respecte son énorme diversité et son développement historique dans tous les États membres. Un premier règlement a été adopté pour organiser le fonctionnement du Comité de suivi, créé afin de garantir le respect et le développement des accords conclus. Avec l'adhésion de l'Allemagne et de la Pologne, ce Comité compte désormais 23 États membres.

 

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La Wallonie, région pionnière

Les politiques publiques belges ont été à la fois innovantes et avant-gardistes avec la 1ère réglementation en économie sociale. Depuis près de 16 ans, la Wallonie est une des régions pionnières en Europe en légiférant en la matière avec le décret du 20 novembre 2008, dont les principes éthiques se retrouvent dans la résolution en économie sociale adoptée par l’Organisation Internationale du Travail (OIT).

 

L’économie sociale représente 14% de l’emploi en Wallonie, avec plus de 6.700 entreprises d’économie sociale présentes dans des secteurs à plus-value économique et sociale, tels que l’énergie verte, l’économie circulairel’alimentation durable, ou encore dans l’industrie créative et culturelle.

 

Les chiffres de l’Observatoire de l’économie sociale, portail statistique de l’économie sociale francophone en Belgique, ont montré que les entreprises d'économie sociale ont tendance à créer plus d'emploi de proximité par rapport à l'économie classique, mais également que 70% des postes de travail de l'économie sociale sont occupés par des femmes contre 50% dans l'économie conventionnelle. De 2018 à 2022, l’emploi dans l’économie sociale a augmenté significativement (+6,2%), une croissance plus importante que celle observée dans l’économie classique (+2,0%).

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

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La conférence ministérielle et d’experts en économie sociale, portée par les trois Régions et organisée au Palais des Congrès de Liège, constituait une première en Belgique dans le cadre d’une Présidence du Conseil de l’Union européenne.

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Experts et citoyens réunis autour des transitions

La conférence d’experts, "L’Économie Sociale au cœur des Transitions", a réuni plus de 600 congressistes. Plus de 60 orateurs belges et internationaux ont animé de nombreuses sessions plénières, tables rondes et workshops autour de trois thématiques : la transition inclusive, la transition verte et la transition numérique. 

 

Le Palais des Congrès de Liège a également accueilli un ‘Village de l’Économie Sociale’, dans lequel les participants ont pu découvrir les réalisations d’entreprises et initiatives belges d’économie sociale, mais aussi l’implication des institutions européennes, administrations publiques, fédérations et autres acteurs de l'écosystème. Plusieurs visites d’entreprises d’économie sociale ont été organisées en Province de Liège et en Flandre, dans la Province du Limbourg.

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Deux accords majeurs pour l'économie sociale dans l'UE

Durant la conférence ministérielle du 12 février, les Etats membres ont signé, sur proposition de la Belgique, la Feuille de route de Liège 2024 pour l’avenir de l’économie sociale. Dans la continuité de la Présidence espagnole, ce texte a pour ambition de fixer 25 mesures prioritaires en économie sociale à entreprendre par le Conseil de l’Union européenne et la future Commission européenne lors de la programmation européenne 2024-2029.

 

La Présidence belge a également obtenu l’institutionnalisation du Comité de suivi de la Déclaration de Luxembourg. Cette déclaration établit que l'UE doit parvenir à une compréhension commune du champ d'application de l'économie sociale, qui respecte son énorme diversité et son développement historique dans tous les États membres. Un premier règlement a été adopté pour organiser le fonctionnement du Comité de suivi, créé afin de garantir le respect et le développement des accords conclus. Avec l'adhésion de l'Allemagne et de la Pologne, ce Comité compte désormais 23 États membres.

 

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La Wallonie, région pionnière

Les politiques publiques belges ont été à la fois innovantes et avant-gardistes avec la 1ère réglementation en économie sociale. Depuis près de 16 ans, la Wallonie est une des régions pionnières en Europe en légiférant en la matière avec le décret du 20 novembre 2008, dont les principes éthiques se retrouvent dans la résolution en économie sociale adoptée par l’Organisation Internationale du Travail (OIT).

 

L’économie sociale représente 14% de l’emploi en Wallonie, avec plus de 6.700 entreprises d’économie sociale présentes dans des secteurs à plus-value économique et sociale, tels que l’énergie verte, l’économie circulairel’alimentation durable, ou encore dans l’industrie créative et culturelle.

 

Les chiffres de l’Observatoire de l’économie sociale, portail statistique de l’économie sociale francophone en Belgique, ont montré que les entreprises d'économie sociale ont tendance à créer plus d'emploi de proximité par rapport à l'économie classique, mais également que 70% des postes de travail de l'économie sociale sont occupés par des femmes contre 50% dans l'économie conventionnelle. De 2018 à 2022, l’emploi dans l’économie sociale a augmenté significativement (+6,2%), une croissance plus importante que celle observée dans l’économie classique (+2,0%).

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

 

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Le Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa (c) WBI

Le Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa (CWBK) entend mettre en œuvre l’ambition de soutien et de redéploiement de la création culturelle et artistique de la Belgique francophone à l’international, telle que reprise dans la Note de Politique Internationale 2019-2024.

 

Aux côtés des agences de Wallonie-Bruxelles International, du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris et du Théâtre des Doms en Avignon, le nouveau Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa constitue un des vecteurs importants de notre action culturelle à l’étranger mais également de la coopération culturelle de l’écosystème WB.

 

Le CWBK, au travers de ses nouvelles infrastructures et selon des modalités innovantes, permettra de promouvoir des talents belges francophones et congolais auprès de publics variés et d’amplifier les échanges relatifs au développement d’une politique bilatérale de coopération avec la RDC mais également d’une coopération multilatérale, car le CWBK demeure un lieu de référence de la Francophonie à Kinshasa, la plus grande capitale francophone. Il pourra dès lors mettre aussi en lumière des artistes de l’espace francophone partenaires de Wallonie-Bruxelles et s’inscrire dans le cadre du programme EUNIC, avec les financements de l’Union européenne.

 

Les objectifs de démocratisation de la culture et de démocratie culturelle s’intègrent dans l’ambition du CWBK de concrétiser, au bénéfice des citoyens de la capitale congolaise, l’exercice réel du droit à la culture. Celui-ci est un droit sur lequel la FWB s’appuie pour sa politique internationale, notamment via les valeurs d’émancipation des individus, de renforcement du lien social, de développement des capacités et de lutte contre les inégalités.

 

Partant du principe que la démocratie culturelle considère la culture comme un terrain social de participation et d’émancipation des individus, le CWBK a été et devra rester cet espace de participation et de débat, cher aux habitants de la capitale congolaise.

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Le poste de directrice/directeur du Centre

Au profit de son engagement renforcé en faveur d’une politique de programmation artistique et culturelle inédite, de cocréation et de déploiement de synergies artistiques et culturelles, le Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa cherche une directrice ou un directeur.

Cette personne aura à assumer un rôle crucial dans la mise en œuvre d’un projet repensé notamment à l’aune de l’infrastructure récemment rénovée qui offre de nouvelles opportunités de développement et à l’aune de la volonté politique du Ministre-Président en charge des relations internationales de renforcer les liens entre les scènes artistiques et culturelles belges francophones et congolaises, dans un esprit de diplomatie et de collaborations culturelles. 

Par une programmation transdisciplinaire, audacieuse et singulière auprès d’un public varié, les saisons artistiques et culturelles déployées viendront renforcer la diplomatie culturelle de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Kinshasa, dont le Centre dépend directement, et s’inscriront dans le respect des valeurs promues par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Ce poste représente une opportunité unique pour les professionnels de la culture désireux de contribuer à un projet artistique d'envergure, dans un contexte riche et en pleine métamorphose. Le Centre recherche une personne dotée d'une vision artistique, capable de tisser des liens entre les différentes cultures et de promouvoir une politique de co-production et cocréation manifeste. La direction artistique aura autant à refléter les lignes de force et de démarcation des scènes artistiques et culturelles belges francophones, qu’à accompagner les productions congolaises dans une logique de coproduction fertile.

L’équipe actuelle affectée au Centre, dont il lui reviendra d’ailleurs de la confirmer, voire de la modifier ou de la renforcer si besoin, est actuellement composée d’une responsable administrative, d'un responsable technique et de six techniciens pigistes. Outre cette équipe qui dépend directement de la directrice/du directeur artistique, cette dernière/ce dernier peut compter sur le soutien actif des services de support de la Délégation Wallonie-Bruxelles en RDC (RH, Finances, communication, IT).

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Profil de fonction

  • Être titulaire d’un diplôme d’enseignement supérieur ou équivalent et témoigner d’un parcours pertinent assorti d’une expérience professionnelle d’au moins 6 ans en rapport étroit avec la fonction ;
  • Expertise en gestion culturelle et artistique : Capacité à développer et mettre en œuvre une vision pour le centre ainsi qu’une stratégie artistique innovante. Avoir une expérience en programmation et de gestion de projets culturels ;
  • Connaissance des scènes artistiques et de l’écosystème culturel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la RDC : Connaissance approfondie des artistes et des talents confirmés et émergents issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la RDC. Capacité à identifier et à promouvoir ces talents dans un contexte international ;
  • Promotion de la co-création et des échanges culturels : Aptitude à favoriser la co-création et les échanges artistiques entre les talents congolais et ceux de la Fédération Wallonie-Bruxelles;
  • Mise en réseaux : Capacité à construire des réseaux professionnels pour établir des relations pertinentes pour le Centre. Capacité d’entretenir et consolider des relations notamment avec le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le Théâtre des Doms en Avignon, des partenaires et des organisations externes. 
  • Vision internationale et interculturelle : Expérience et compétence de travail dans un contexte international, avec une compréhension approfondie des nuances culturelles. Capacité à promouvoir la culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l'échelle internationale ;
  • Compétences en communication et relations publiques : Excellentes aptitudes en communication. Capacité à communiquer efficacement la vision et les programmes du Centre ;
  • Leadership et gestion d'équipe : Capacité avérée à diriger et à motiver une équipe, avec une approche inclusive et collaborative. Compétence dans la gestion des ressources humaines et la création d'un environnement de travail positif ;
  • Flexibilité et adaptabilité : Flexibilité pour s'adapter aux défis et aux opportunités uniques du contexte culturel de Kinshasa, ainsi qu'aux évolutions du secteur artistique et culturel international ;
  • Interculturalité : Témoigner d’une réelle expérience de l’interculturel et de portage de projets culturels internationaux et singulièrement en lien avec le continent africain ;
  • Adhésion aux valeurs que porte la Fédération Wallonie-Bruxelles : Disposer d’une connaissance des intérêts et des enjeux des politiques culturelles développées par la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le plan national et international ;
  • Impératif d’objectivité : N’exercer aucune autre fonction, de quelque nature que ce soit et pouvant entraîner des conflits d’intérêts. En particulier, s’abstenir d’exercer toute activité, publique ou privée, de réalisation et de production de spectacles, notamment ;
  • Bon gestionnaire : Avoir l’expérience de gestion administrative et budgétaire.
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Conditions matérielles et financières

La Directrice/le directeur sera engagée/engagé sous régime temps plein et par contrat à durée déterminée de droit congolais, moyennant une période d’essai d’un an. Il/elle sera rémunérée/rémunéré selon le barème applicable au sein de la Délégation générale WB à Kinshasa.

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Dossier de candidature

Les candidatures doivent être envoyées par courriel : n.dervaux@wbi.be, Nicolas DERVAUX, Directeur, Coordination des supports WBI.

 

La date limite de réception est fixée au 2 mars 2024 à minuit (heure de Bruxelles).

 

Les candidatures seront impérativement accompagnées :

1. D’une copie du diplôme sanctionné par des études supérieures
2. D’une lettre de motivation décrivant la vision du candidat pour le poste à pourvoir (maximum 6 pages recto, Calibri 12, interligne simple)
3. D’un curriculum vitae contextualisant les titres et mérites du candidat et reprenant notamment les coordonnées complètes du candidat, l’intitulé exact des diplômes obtenus, le parcours professionnel
4. D’une photocopie de la carte d'identité ou du passeport
5. De tout document, diplôme ou attestation pouvant justifier la maîtrise de langues autres que le français

 

La sélection comprendra :

  • Un examen des dossiers de candidatures et leur éligibilité ;
  • Une épreuve écrite qui se tiendra simultanément à la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Kinshasa et à WBI Bruxelles ;
  • Un entretien oral, par visioconférence, devant un jury. Seuls les candidats ayant obtenu une note égale ou supérieure à 12/20 à l’épreuve écrite auront accès à cet entretien.
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Prise de fonction

La candidate/le candidat retenue/retenu assurera la direction à partir du 1er avril 2024, pour une durée de cinq années, renouvelable une seule fois.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi complète, ainsi que la lettre de mission, en pièces jointes.

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Le Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa (CWBK) entend mettre en œuvre l’ambition de soutien et de redéploiement de la création culturelle et artistique de la Belgique francophone à l’international, telle que reprise dans la Note de Politique Internationale 2019-2024.

 

Aux côtés des agences de Wallonie-Bruxelles International, du Centre Wallonie-Bruxelles à Paris et du Théâtre des Doms en Avignon, le nouveau Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa constitue un des vecteurs importants de notre action culturelle à l’étranger mais également de la coopération culturelle de l’écosystème WB.

 

Le CWBK, au travers de ses nouvelles infrastructures et selon des modalités innovantes, permettra de promouvoir des talents belges francophones et congolais auprès de publics variés et d’amplifier les échanges relatifs au développement d’une politique bilatérale de coopération avec la RDC mais également d’une coopération multilatérale, car le CWBK demeure un lieu de référence de la Francophonie à Kinshasa, la plus grande capitale francophone. Il pourra dès lors mettre aussi en lumière des artistes de l’espace francophone partenaires de Wallonie-Bruxelles et s’inscrire dans le cadre du programme EUNIC, avec les financements de l’Union européenne.

 

Les objectifs de démocratisation de la culture et de démocratie culturelle s’intègrent dans l’ambition du CWBK de concrétiser, au bénéfice des citoyens de la capitale congolaise, l’exercice réel du droit à la culture. Celui-ci est un droit sur lequel la FWB s’appuie pour sa politique internationale, notamment via les valeurs d’émancipation des individus, de renforcement du lien social, de développement des capacités et de lutte contre les inégalités.

 

Partant du principe que la démocratie culturelle considère la culture comme un terrain social de participation et d’émancipation des individus, le CWBK a été et devra rester cet espace de participation et de débat, cher aux habitants de la capitale congolaise.

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Le poste de directrice/directeur du Centre

Au profit de son engagement renforcé en faveur d’une politique de programmation artistique et culturelle inédite, de cocréation et de déploiement de synergies artistiques et culturelles, le Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa cherche une directrice ou un directeur.

Cette personne aura à assumer un rôle crucial dans la mise en œuvre d’un projet repensé notamment à l’aune de l’infrastructure récemment rénovée qui offre de nouvelles opportunités de développement et à l’aune de la volonté politique du Ministre-Président en charge des relations internationales de renforcer les liens entre les scènes artistiques et culturelles belges francophones et congolaises, dans un esprit de diplomatie et de collaborations culturelles. 

Par une programmation transdisciplinaire, audacieuse et singulière auprès d’un public varié, les saisons artistiques et culturelles déployées viendront renforcer la diplomatie culturelle de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Kinshasa, dont le Centre dépend directement, et s’inscriront dans le respect des valeurs promues par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Ce poste représente une opportunité unique pour les professionnels de la culture désireux de contribuer à un projet artistique d'envergure, dans un contexte riche et en pleine métamorphose. Le Centre recherche une personne dotée d'une vision artistique, capable de tisser des liens entre les différentes cultures et de promouvoir une politique de co-production et cocréation manifeste. La direction artistique aura autant à refléter les lignes de force et de démarcation des scènes artistiques et culturelles belges francophones, qu’à accompagner les productions congolaises dans une logique de coproduction fertile.

L’équipe actuelle affectée au Centre, dont il lui reviendra d’ailleurs de la confirmer, voire de la modifier ou de la renforcer si besoin, est actuellement composée d’une responsable administrative, d'un responsable technique et de six techniciens pigistes. Outre cette équipe qui dépend directement de la directrice/du directeur artistique, cette dernière/ce dernier peut compter sur le soutien actif des services de support de la Délégation Wallonie-Bruxelles en RDC (RH, Finances, communication, IT).

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Profil de fonction

  • Être titulaire d’un diplôme d’enseignement supérieur ou équivalent et témoigner d’un parcours pertinent assorti d’une expérience professionnelle d’au moins 6 ans en rapport étroit avec la fonction ;
  • Expertise en gestion culturelle et artistique : Capacité à développer et mettre en œuvre une vision pour le centre ainsi qu’une stratégie artistique innovante. Avoir une expérience en programmation et de gestion de projets culturels ;
  • Connaissance des scènes artistiques et de l’écosystème culturel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la RDC : Connaissance approfondie des artistes et des talents confirmés et émergents issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la RDC. Capacité à identifier et à promouvoir ces talents dans un contexte international ;
  • Promotion de la co-création et des échanges culturels : Aptitude à favoriser la co-création et les échanges artistiques entre les talents congolais et ceux de la Fédération Wallonie-Bruxelles;
  • Mise en réseaux : Capacité à construire des réseaux professionnels pour établir des relations pertinentes pour le Centre. Capacité d’entretenir et consolider des relations notamment avec le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, le Théâtre des Doms en Avignon, des partenaires et des organisations externes. 
  • Vision internationale et interculturelle : Expérience et compétence de travail dans un contexte international, avec une compréhension approfondie des nuances culturelles. Capacité à promouvoir la culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l'échelle internationale ;
  • Compétences en communication et relations publiques : Excellentes aptitudes en communication. Capacité à communiquer efficacement la vision et les programmes du Centre ;
  • Leadership et gestion d'équipe : Capacité avérée à diriger et à motiver une équipe, avec une approche inclusive et collaborative. Compétence dans la gestion des ressources humaines et la création d'un environnement de travail positif ;
  • Flexibilité et adaptabilité : Flexibilité pour s'adapter aux défis et aux opportunités uniques du contexte culturel de Kinshasa, ainsi qu'aux évolutions du secteur artistique et culturel international ;
  • Interculturalité : Témoigner d’une réelle expérience de l’interculturel et de portage de projets culturels internationaux et singulièrement en lien avec le continent africain ;
  • Adhésion aux valeurs que porte la Fédération Wallonie-Bruxelles : Disposer d’une connaissance des intérêts et des enjeux des politiques culturelles développées par la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le plan national et international ;
  • Impératif d’objectivité : N’exercer aucune autre fonction, de quelque nature que ce soit et pouvant entraîner des conflits d’intérêts. En particulier, s’abstenir d’exercer toute activité, publique ou privée, de réalisation et de production de spectacles, notamment ;
  • Bon gestionnaire : Avoir l’expérience de gestion administrative et budgétaire.
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Conditions matérielles et financières

La Directrice/le directeur sera engagée/engagé sous régime temps plein et par contrat à durée déterminée de droit congolais, moyennant une période d’essai d’un an. Il/elle sera rémunérée/rémunéré selon le barème applicable au sein de la Délégation générale WB à Kinshasa.

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Dossier de candidature

Les candidatures doivent être envoyées par courriel : n.dervaux@wbi.be, Nicolas DERVAUX, Directeur, Coordination des supports WBI.

 

La date limite de réception est fixée au 2 mars 2024 à minuit (heure de Bruxelles).

 

Les candidatures seront impérativement accompagnées :

1. D’une copie du diplôme sanctionné par des études supérieures
2. D’une lettre de motivation décrivant la vision du candidat pour le poste à pourvoir (maximum 6 pages recto, Calibri 12, interligne simple)
3. D’un curriculum vitae contextualisant les titres et mérites du candidat et reprenant notamment les coordonnées complètes du candidat, l’intitulé exact des diplômes obtenus, le parcours professionnel
4. D’une photocopie de la carte d'identité ou du passeport
5. De tout document, diplôme ou attestation pouvant justifier la maîtrise de langues autres que le français

 

La sélection comprendra :

  • Un examen des dossiers de candidatures et leur éligibilité ;
  • Une épreuve écrite qui se tiendra simultanément à la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Kinshasa et à WBI Bruxelles ;
  • Un entretien oral, par visioconférence, devant un jury. Seuls les candidats ayant obtenu une note égale ou supérieure à 12/20 à l’épreuve écrite auront accès à cet entretien.
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Prise de fonction

La candidate/le candidat retenue/retenu assurera la direction à partir du 1er avril 2024, pour une durée de cinq années, renouvelable une seule fois.

 

Vous trouverez l'offre d'emploi complète, ainsi que la lettre de mission, en pièces jointes.

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Bouton - en savoir plus

Ci-dessous, vous trouverez les thématiques prioritaires pour cette session 2024-2026.

Dans ces thématiques, les projets ayant une dimension numérique ou un accent mis sur l’égalité des genres, recevront une attention particulière.

 

  • Economie, recherche et innovation
    • Coopération universitaire
    • Gestion des chaines d’approvisionnement
    • Intelligence artificielle
    • Industrie 4.0
    • Cybersécurité
  • Environnement
    • Biodiversité
    • Mobilité durable
    • Energie propre
    • Écoconstruction
  • Culture
    • Créativité numérique
    • Domaine du livre
    • Musique : francophone (chanson, slam, hip-hop, rock, pop ou électro), jazz et classique
    • Arts de la scène : humour, théâtre, cirque et danse
  • Education, Enseignement supérieur et formation professionnelle
    • Réussite éducative
    • Intégration des élèves ayant des besoins particuliers
    • Éducation à la vie affective et sexuelle. Lutte contre la cyberintimidation et le harcèlement
    • Formation professionnelle
    • Valorisation de la profession enseignante
    • Éducation au numérique
  • Les enjeux de santé et de société
    • Sciences de la vie
    • Services sociaux
    • Soins à domicile et autonomisation de la personne
    • Santé mentale 
    • Numérique en santé
    • Sport et Saines habitudes de vie (consommation, offre de produits sains, modes de vie)
  • Support aux Jeunes Pousses/Start-ups
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Candidatures

Pour déposer votre projet, vous devez :

  • Être un organisme situé en Wallonie-Bruxelles et reconnu par les entités de la Wallonie, ou de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou de la Cocof 
  • Être une Ecole d’Enseignement Supérieur (EES) reconnue par la Fédération Wallonie-Bruxelles 
  • Déposer votre formulaire auprès de Wallonie-Bruxelles International (WBI) ; votre partenaire québécois doit déposer le sien auprès du Ministère des Relations Internationales et de la Francophonie du Québec 
  • Envoyer par voie postale votre formulaire original complété et signé à WBI pour le 31 mars 2024 à 23h59 au plus tard
  • Envoyer en copie avancée courrielle votre formulaire sous format word exclusivement à c.diop@wbi.be et par voie postale avec les signatures originales à l’attention de Madame Vinciane Périn- Direction des Relations bilatérales- WBI, Place Sainctelette 2 à 1080 Bruxelles

Les formulaires de projets incomplets ou reçus après le 31 mars 2024 ne seront pas éligibles.

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Une question en particulier ?

Contactez :

Tél. : 02/421.82.85

 

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Ci-dessous, vous trouverez les thématiques prioritaires pour cette session 2024-2026.

Dans ces thématiques, les projets ayant une dimension numérique ou un accent mis sur l’égalité des genres, recevront une attention particulière.

 

  • Economie, recherche et innovation
    • Coopération universitaire
    • Gestion des chaines d’approvisionnement
    • Intelligence artificielle
    • Industrie 4.0
    • Cybersécurité
  • Environnement
    • Biodiversité
    • Mobilité durable
    • Energie propre
    • Écoconstruction
  • Culture
    • Créativité numérique
    • Domaine du livre
    • Musique : francophone (chanson, slam, hip-hop, rock, pop ou électro), jazz et classique
    • Arts de la scène : humour, théâtre, cirque et danse
  • Education, Enseignement supérieur et formation professionnelle
    • Réussite éducative
    • Intégration des élèves ayant des besoins particuliers
    • Éducation à la vie affective et sexuelle. Lutte contre la cyberintimidation et le harcèlement
    • Formation professionnelle
    • Valorisation de la profession enseignante
    • Éducation au numérique
  • Les enjeux de santé et de société
    • Sciences de la vie
    • Services sociaux
    • Soins à domicile et autonomisation de la personne
    • Santé mentale 
    • Numérique en santé
    • Sport et Saines habitudes de vie (consommation, offre de produits sains, modes de vie)
  • Support aux Jeunes Pousses/Start-ups
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Candidatures

Pour déposer votre projet, vous devez :

  • Être un organisme situé en Wallonie-Bruxelles et reconnu par les entités de la Wallonie, ou de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou de la Cocof 
  • Être une Ecole d’Enseignement Supérieur (EES) reconnue par la Fédération Wallonie-Bruxelles 
  • Déposer votre formulaire auprès de Wallonie-Bruxelles International (WBI) ; votre partenaire québécois doit déposer le sien auprès du Ministère des Relations Internationales et de la Francophonie du Québec 
  • Envoyer par voie postale votre formulaire original complété et signé à WBI pour le 31 mars 2024 à 23h59 au plus tard
  • Envoyer en copie avancée courrielle votre formulaire sous format word exclusivement à c.diop@wbi.be et par voie postale avec les signatures originales à l’attention de Madame Vinciane Périn- Direction des Relations bilatérales- WBI, Place Sainctelette 2 à 1080 Bruxelles

Les formulaires de projets incomplets ou reçus après le 31 mars 2024 ne seront pas éligibles.

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Contactez :

Tél. : 02/421.82.85

 

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Documents liés

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En vertu de l’accord de coopération entre la République du Bénin, la Communauté française de Belgique, la Région wallonne et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, la prochaine session de la Commission Mixte Permanente se tiendra à Bruxelles les 22, 23 et 24 avril 2024 et déterminera le nouveau programme de coopération 2024-2028.

 

Une partie du programme d’actions sera réalisée par des opérateurs publics et l’autre sera mise en œuvre par des opérateurs conjointement choisis par les représentants des Gouvernements des deux Parties à la suite de cet appel à propositions.

 

Conformément aux priorités identifiées par le Bénin lors du dialogue bilatéral et en alignement stratégique sur le Programme d’Action du Gouvernement (PAG2, 2021-2026) ainsi que conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, Wallonie-Bruxelles a identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions. Les propositions doivent répondre aux axes stratégiques prioritaires à considérer comme références du nouveau programme de travail, à savoir :

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Axe 1 : Transformation structurelle de l’économie

  1. Développement économique des MPME
  2. Culture et Industries Culturelles et Créatives (ICC)
  3. Tourisme
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Axe 2 : Amélioration du bien-être social

  1. Aide à la jeunesse - Intégration socioéconomique des personnes vulnérables – Sport
  2. Garantir un accès universel à l’eau potable

Il est important de rappeler que ces axes prioritaires s’inscrivent dans les objectifs poursuivis par les gouvernements et ceux en matière de développement durable (ODD) tels qu’énoncés par l’ONU dans son agenda 2030 (en particulier, au vu des orientations répertoriées ci-dessus, les ODD 1, 4, 5, 6, 8, 9 et 10).

 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez dans les annexes ci-dessous le formulaire d’appel à propositions ainsi que l’ensemble des documents utiles.

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au lundi 11 mars 2024, à 23h59. Les propositions peuvent être envoyées avant cette date, mais pas après.

 

À toutes fins utiles, il convient de prendre en compte que :

  • Le projet doit être déposé conjointement avec le partenaire béninois ;

L’adresse retenue pour le dépôt des dossiers des opérateurs béninois est la suivante :

Ministère des Affaires étrangères

Secrétariat général du Ministère

Tel : +229 21 30 09 06

Mel : mae.sg@gouv.bj

  • La période de travail est 2024-2028. Il est nécessaire de ventiler le projet et le budget sur cette période. Pour les deux premières années 2024 et 2025, nous demandons que le budget soit envisagé sur deux périodes de 9 mois (juillet24-mars25 et avril25-janvier26).
  • Le projet proposé ne doit pas nécessairement recouvrir l’entièreté de la période de programmation 2024-2028 ;
  • Une implication active/contribution de l’opérateur béninois sera bienvenue.

Pour toute question, veuillez-vous adresser à Stéphane CARLIER, responsable de nos relations avec la République du Bénin s.carlier@wbi.be  avec en copie Cécile FOUARGE c.fouarge@wbi.be

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Annexes

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En vertu de l’accord de coopération entre la République du Bénin, la Communauté française de Belgique, la Région wallonne et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, la prochaine session de la Commission Mixte Permanente se tiendra à Bruxelles les 22, 23 et 24 avril 2024 et déterminera le nouveau programme de coopération 2024-2028.

 

Une partie du programme d’actions sera réalisée par des opérateurs publics et l’autre sera mise en œuvre par des opérateurs conjointement choisis par les représentants des Gouvernements des deux Parties à la suite de cet appel à propositions.

 

Conformément aux priorités identifiées par le Bénin lors du dialogue bilatéral et en alignement stratégique sur le Programme d’Action du Gouvernement (PAG2, 2021-2026) ainsi que conformément à la philosophie qui préside à cette coopération, Wallonie-Bruxelles a identifié un certain nombre d’axes prioritaires d’interventions. Les propositions doivent répondre aux axes stratégiques prioritaires à considérer comme références du nouveau programme de travail, à savoir :

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Axe 1 : Transformation structurelle de l’économie

  1. Développement économique des MPME
  2. Culture et Industries Culturelles et Créatives (ICC)
  3. Tourisme
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Axe 2 : Amélioration du bien-être social

  1. Aide à la jeunesse - Intégration socioéconomique des personnes vulnérables – Sport
  2. Garantir un accès universel à l’eau potable

Il est important de rappeler que ces axes prioritaires s’inscrivent dans les objectifs poursuivis par les gouvernements et ceux en matière de développement durable (ODD) tels qu’énoncés par l’ONU dans son agenda 2030 (en particulier, au vu des orientations répertoriées ci-dessus, les ODD 1, 4, 5, 6, 8, 9 et 10).

 

Si vous souhaitez développer un partenariat dans le cadre de ce programme de travail, vous trouverez dans les annexes ci-dessous le formulaire d’appel à propositions ainsi que l’ensemble des documents utiles.

 

La date limite d’introduction des demandes est fixée au lundi 11 mars 2024, à 23h59. Les propositions peuvent être envoyées avant cette date, mais pas après.

 

À toutes fins utiles, il convient de prendre en compte que :

  • Le projet doit être déposé conjointement avec le partenaire béninois ;

L’adresse retenue pour le dépôt des dossiers des opérateurs béninois est la suivante :

Ministère des Affaires étrangères

Secrétariat général du Ministère

Tel : +229 21 30 09 06

Mel : mae.sg@gouv.bj

  • La période de travail est 2024-2028. Il est nécessaire de ventiler le projet et le budget sur cette période. Pour les deux premières années 2024 et 2025, nous demandons que le budget soit envisagé sur deux périodes de 9 mois (juillet24-mars25 et avril25-janvier26).
  • Le projet proposé ne doit pas nécessairement recouvrir l’entièreté de la période de programmation 2024-2028 ;
  • Une implication active/contribution de l’opérateur béninois sera bienvenue.

Pour toute question, veuillez-vous adresser à Stéphane CARLIER, responsable de nos relations avec la République du Bénin s.carlier@wbi.be  avec en copie Cécile FOUARGE c.fouarge@wbi.be

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© Belgian Presidency of the Council of the European Union / Nicolas Lobet PRYZM

Durant la réunion informelle des Ministres en charge de la politique de cohésion à Mons, les Ministres européens se sont accordés sur les lignes directrices ambitieuses et cohérentes pour l’avenir de la politique de cohésion post-2027.

 

La réunion informelle, présidée par le Ministre-Président de Wallonie Elio Di Rupo, a réuni les représentants des 27 états membres de l'UE, ainsi que des commissaires et des représentants d'institutions européennes. Les parties prenantes ont procédé à un échange de vues sur l’avenir de la politique de cohésion en Europe en tant que principale politique d’investissement à long terme.

 

Dans un contexte d'aggravation des inégalités et de tensions sociétales croissantes, la politique de cohésion, en tant que pilier d'investissement et de solidarité, demeure plus nécessaire que jamais. Son approche régionale et structurelle sert de moteur puissant à la transition au sein de l'Union européenne.

 

Réussites passées et perspectives futures

 

Au micro de la radio La Première - RTBF, le Ministre-Président de Wallonie a souligné le succès des politiques de cohésion de l’Union européenne. "Le Fonds social européen a joué un rôle crucial en permettant à 65 millions d’Européens d’accéder à l’emploi ou à une formation, favorisant ainsi l’inclusion sociale. De plus, plus de 5 millions d’entreprises ont bénéficié de son soutien, tandis que 63 millions de personnes ont constaté une amélioration de l’accès aux soins de santé. Ces fonds européens ont également permis à des régions en difficulté, comme la Wallonie, de se développer pour atteindre des niveaux comparables à ceux d’autres régions".

 

Néanmoins, cela ne signifie pas que la politique de cohésion doit rester telle qu’elle existe aujourd’hui. Les différents États-Membres ont confirmé la nécessité d’adapter la politique de cohésion en prenant en compte les réalités spécifiques de chaque région de l’Union européenne. Les reformes successives de la politique de Cohésion et la mobilisation des fonds pour répondre en urgence aux crises successives ont progressivement éloigné la politique de Cohésion de ses objectifs fondateurs et de sa raison d’être. C’est pourquoi, les Ministres ont réfléchi aux principales priorités stratégiques de la politique de cohésion, en veillant à ce qu’elles ne soient pas déconnectées des besoins concrets des entreprises et citoyens européens.

Un principe de solidarité au coeur de l'UE

 

Outre les priorités stratégiques, les Ministres ont également discuté des principes clés devant guider la politique de cohésion post-2027 et visant à soutenir son rôle de levier pour des transitions justes et ancrées dans la réalité des territoires. Finalement, les Ministres ont discuté des mesures de simplifications supplémentaires à introduire pour amplifier la réalisation, sur le terrain, des investissements cofinancés par l’Union européenne, les Etats membres ou les Régions.

 

« Cette réunion a permis de réaffirmer le rôle essentiel de la politique de cohésion. Pendant des décennies, elle a permis de réduire les écarts de développement entre les régions européennes ! Pour la Belgique, elle doit rester la principale politique européenne d’investissements structurelles. C’est une politique solidaire qui ne laisse personne au bord du chemin et qui répond au mieux aux besoins des citoyens et des entreprises européens ! Comme le disait Jacques Delors, père de la politique de cohésion : “Pour que l’Union européenne fonctionne, il faut la compétition qui stimule, la solidarité qui unit et la coopération qui renforce” » a indiqué le Ministre-Président wallon Elio di Rupo.

 

Plus d’informations à propos de la politique de cohésion et son impact en Wallonie sur les réseaux sociaux WallonieUE24

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be
 

 

Durant la réunion informelle des Ministres en charge de la politique de cohésion à Mons, les Ministres européens se sont accordés sur les lignes directrices ambitieuses et cohérentes pour l’avenir de la politique de cohésion post-2027.

 

La réunion informelle, présidée par le Ministre-Président de Wallonie Elio Di Rupo, a réuni les représentants des 27 états membres de l'UE, ainsi que des commissaires et des représentants d'institutions européennes. Les parties prenantes ont procédé à un échange de vues sur l’avenir de la politique de cohésion en Europe en tant que principale politique d’investissement à long terme.

 

Dans un contexte d'aggravation des inégalités et de tensions sociétales croissantes, la politique de cohésion, en tant que pilier d'investissement et de solidarité, demeure plus nécessaire que jamais. Son approche régionale et structurelle sert de moteur puissant à la transition au sein de l'Union européenne.

 

Réussites passées et perspectives futures

 

Au micro de la radio La Première - RTBF, le Ministre-Président de Wallonie a souligné le succès des politiques de cohésion de l’Union européenne. "Le Fonds social européen a joué un rôle crucial en permettant à 65 millions d’Européens d’accéder à l’emploi ou à une formation, favorisant ainsi l’inclusion sociale. De plus, plus de 5 millions d’entreprises ont bénéficié de son soutien, tandis que 63 millions de personnes ont constaté une amélioration de l’accès aux soins de santé. Ces fonds européens ont également permis à des régions en difficulté, comme la Wallonie, de se développer pour atteindre des niveaux comparables à ceux d’autres régions".

 

Néanmoins, cela ne signifie pas que la politique de cohésion doit rester telle qu’elle existe aujourd’hui. Les différents États-Membres ont confirmé la nécessité d’adapter la politique de cohésion en prenant en compte les réalités spécifiques de chaque région de l’Union européenne. Les reformes successives de la politique de Cohésion et la mobilisation des fonds pour répondre en urgence aux crises successives ont progressivement éloigné la politique de Cohésion de ses objectifs fondateurs et de sa raison d’être. C’est pourquoi, les Ministres ont réfléchi aux principales priorités stratégiques de la politique de cohésion, en veillant à ce qu’elles ne soient pas déconnectées des besoins concrets des entreprises et citoyens européens.

Un principe de solidarité au coeur de l'UE

 

Outre les priorités stratégiques, les Ministres ont également discuté des principes clés devant guider la politique de cohésion post-2027 et visant à soutenir son rôle de levier pour des transitions justes et ancrées dans la réalité des territoires. Finalement, les Ministres ont discuté des mesures de simplifications supplémentaires à introduire pour amplifier la réalisation, sur le terrain, des investissements cofinancés par l’Union européenne, les Etats membres ou les Régions.

 

« Cette réunion a permis de réaffirmer le rôle essentiel de la politique de cohésion. Pendant des décennies, elle a permis de réduire les écarts de développement entre les régions européennes ! Pour la Belgique, elle doit rester la principale politique européenne d’investissements structurelles. C’est une politique solidaire qui ne laisse personne au bord du chemin et qui répond au mieux aux besoins des citoyens et des entreprises européens ! Comme le disait Jacques Delors, père de la politique de cohésion : “Pour que l’Union européenne fonctionne, il faut la compétition qui stimule, la solidarité qui unit et la coopération qui renforce” » a indiqué le Ministre-Président wallon Elio di Rupo.

 

Plus d’informations à propos de la politique de cohésion et son impact en Wallonie sur les réseaux sociaux WallonieUE24

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be
 

 

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