Si Valérie Barkowski sème son style un peu partout dans le monde, enchainant les chantiers de New York à Marrakech et créant marques et concepts dans de nombreux pays, c’est aussi dans le monde et ses cultures et techniques ancestrales que Valérie puise son inspiration. Elle qui a grandi face à la mer du Nord, en rêvant toujours de voyages, découvre le Maroc en 1991. C’est un choc: culture, couleurs, odeurs, techniques anciennes, rapport au temps, aux gens… Tout est à découvrir et tout la séduit. Elle décide de s’installer à Marrakech et y rénove un riad, Dar Kawa, qui deviendra sa maison, une vitrine pour son style épuré et une maison d’hôtes. De sa collaboration avec les artisans marocains naitront différentes marques: Mia Zia et V. Barkowski, que l’on trouve aujourd’hui dans sa boutique atelier VB store au cœur de la Medina.
Mais le Maroc n’est pas le seul pays inspirant pour la créatrice. De ses voyages et rencontres, elle tire toujours la quintessence de la beauté, grâce à sa curiosité envers les techniques traditionnelles, mais aussi envers les gens: ceux qui fabriquent, ainsi que ceux qui utilisent ses créations. C’est ainsi qu’en marge de la luxueuse ligne de linge de maison Bandit Queen qu’elle crée de A à Z, on la retrouve en Inde avec la Marque No-Mad 97% India qu’elle destine aux consommateurs indiens en revisitant avec style leurs objets du quotidien.
Menée par une insatiable curiosité, un œil aiguisé, une passion pour le style intemporel et une philosophie qui intègre l’humain et l’environnement, elle n’a pas fini de nous surprendre. Directrice artistique pour des marques telles que Lafayette Maison, Ligne Roset, Nuxe, AM.PM (La Redoute)… ou des magazines: Libre essentielle (magazine), Le Figaro Madame (magazine)… styliste et décoratrice d’intérieur ; heureuse qui, comme Valérie Barkowski a fait de beaux voyages.
En savoir plus
https://www.instagram.com/valeriebarkowski/?hl=fr
https://www.facebook.com/valeriebarkowskidesign/
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Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles
WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.
Découvrez la série de portraits :
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Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…
Retour au débutSi Valérie Barkowski sème son style un peu partout dans le monde, enchainant les chantiers de New York à Marrakech et créant marques et concepts dans de nombreux pays, c’est aussi dans le monde et ses cultures et techniques ancestrales que Valérie puise son inspiration. Elle qui a grandi face à la mer du Nord, en rêvant toujours de voyages, découvre le Maroc en 1991. C’est un choc: culture, couleurs, odeurs, techniques anciennes, rapport au temps, aux gens… Tout est à découvrir et tout la séduit. Elle décide de s’installer à Marrakech et y rénove un riad, Dar Kawa, qui deviendra sa maison, une vitrine pour son style épuré et une maison d’hôtes. De sa collaboration avec les artisans marocains naitront différentes marques: Mia Zia et V. Barkowski, que l’on trouve aujourd’hui dans sa boutique atelier VB store au cœur de la Medina.
Mais le Maroc n’est pas le seul pays inspirant pour la créatrice. De ses voyages et rencontres, elle tire toujours la quintessence de la beauté, grâce à sa curiosité envers les techniques traditionnelles, mais aussi envers les gens: ceux qui fabriquent, ainsi que ceux qui utilisent ses créations. C’est ainsi qu’en marge de la luxueuse ligne de linge de maison Bandit Queen qu’elle crée de A à Z, on la retrouve en Inde avec la Marque No-Mad 97% India qu’elle destine aux consommateurs indiens en revisitant avec style leurs objets du quotidien.
Menée par une insatiable curiosité, un œil aiguisé, une passion pour le style intemporel et une philosophie qui intègre l’humain et l’environnement, elle n’a pas fini de nous surprendre. Directrice artistique pour des marques telles que Lafayette Maison, Ligne Roset, Nuxe, AM.PM (La Redoute)… ou des magazines: Libre essentielle (magazine), Le Figaro Madame (magazine)… styliste et décoratrice d’intérieur ; heureuse qui, comme Valérie Barkowski a fait de beaux voyages.
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Auteur, compositeur, chanteur, Thomas Mustin dit Mustii est aussi connu comme acteur et metteur en scène. Etudiant en théâtre, il débute sa carrière de musicien par hasard en s’installant au synthé d’un ami. Il crée alors instinctivement des mélodies et se prend au jeu. L’envie de se professionnaliser et de monter un groupe vient très vite.
C’est en écoutant « Master Blaster » de Stevie Wonder que Typh Barrow a su qu’elle voulait devenir chanteuse… Hélas LA chanteuse de référence à ce moment-là, c’est Céline Dion et la petite Tiffany avec sa voix atypique est prise de doutes. Ce n’est pas grave, armée de son bagage piano solfège, la jeune musicienne bruxelloise compose et joue dans des pianos-bars ; une expérience qui lui servira toujours.
Hélas LA chanteuse de référence à ce moment-là, c’est Céline Dion et la petite Tiffany avec sa voix atypique est prise de doutes. Ce n’est pas grave, armée de son bagage piano solfège, la jeune musicienne bruxelloise compose et joue dans des pianos-bars ; une expérience qui lui servira toujours.
En 2003, elle rencontre François Leboutte, il est touché. Fort de l’émotion ressentie, il décide d’aider la jeune Tiffany à devenir Typh Barrow. Manager, directeur artistique et producteur, François l’aiguille, la pousse et la protège, avec amitié et respect. Le chemin sera long : entre ses études de droit (réussies en 2009) et sa passion, l’artiste travaille avec ténacité. Elle sort son premier single en 2012. Alors qu’elle commence à se faire un nom, sa voix la trahit. L’obligation de se taire pour éviter une opération devient l’occasion de réfléchir, de se poser… Un moment d’introspection qui ne nuira pas du tout à la chanteuse-compositrice qui puise son inspiration dans toutes ses expériences.
En 2013, sur YouTube, elle explose tout avec ses reprises inspirées, comme "Gangsta paradise" saluée par Coolio comme la meilleure des reprises de son tube. Le nom et la voix de Typh Barrow commencent à résonner en Belgique et à l’international. En 2018 l’album "Raw" confirme son talent : ses concerts sont sold-out et l’album devient disque d’Or, elle chante en duo avec Maurane (un de ses rêves) et rejoint son amie BJ Scott dans l’équipe de The Voice Belgique.
Artiste de l’année aux Octaves de la musique en 2019, elle sort en 2020, l’album "Aloha" qui sera un succès immédiat. Il reste cependant encore à Typh Barrow quelques rêves à réaliser, dont un, qui sera atteint en 2022 : chanter à Forest national. Un grand moment pour une celle qui n’aimait pas sa voix, parions qu’il y en aura d’autres.
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Retour au débutHélas LA chanteuse de référence à ce moment-là, c’est Céline Dion et la petite Tiffany avec sa voix atypique est prise de doutes. Ce n’est pas grave, armée de son bagage piano solfège, la jeune musicienne bruxelloise compose et joue dans des pianos-bars ; une expérience qui lui servira toujours.
En 2003, elle rencontre François Leboutte, il est touché. Fort de l’émotion ressentie, il décide d’aider la jeune Tiffany à devenir Typh Barrow. Manager, directeur artistique et producteur, François l’aiguille, la pousse et la protège, avec amitié et respect. Le chemin sera long : entre ses études de droit (réussies en 2009) et sa passion, l’artiste travaille avec ténacité. Elle sort son premier single en 2012. Alors qu’elle commence à se faire un nom, sa voix la trahit. L’obligation de se taire pour éviter une opération devient l’occasion de réfléchir, de se poser… Un moment d’introspection qui ne nuira pas du tout à la chanteuse-compositrice qui puise son inspiration dans toutes ses expériences.
En 2013, sur YouTube, elle explose tout avec ses reprises inspirées, comme "Gangsta paradise" saluée par Coolio comme la meilleure des reprises de son tube. Le nom et la voix de Typh Barrow commencent à résonner en Belgique et à l’international. En 2018 l’album "Raw" confirme son talent : ses concerts sont sold-out et l’album devient disque d’Or, elle chante en duo avec Maurane (un de ses rêves) et rejoint son amie BJ Scott dans l’équipe de The Voice Belgique.
Artiste de l’année aux Octaves de la musique en 2019, elle sort en 2020, l’album "Aloha" qui sera un succès immédiat. Il reste cependant encore à Typh Barrow quelques rêves à réaliser, dont un, qui sera atteint en 2022 : chanter à Forest national. Un grand moment pour une celle qui n’aimait pas sa voix, parions qu’il y en aura d’autres.
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La Revue W+B n°157 est sortie !
C’est la rentrée, certes, mais prolongeons encore un moment le plaisir des vacances et des découvertes théâtrales à Avignon et à Venise, où les compagnies de Wallonie et de Bruxelles ont encore une fois déployé tout leur talent. En parlant de théâtre, découvrons le Festival International Maboule, organisé par le Tof Théâtre, une compagnie de théâtre de marionnettes wallonne.
Intéressons-nous également au Trail Institute, spécialisé dans le domaine de l’intelligence artificielle, au futur incubateur inspiré de MolenGeek qui verra prochainement le jour à Casablanca, au programme de volontariat européen pour la jeunesse et aux lauréats des Wallonia International Business Awards.
Laissons-nous transporter vers les étoiles avec Sarah Baatout, astrophysicienne de renommée internationale, et porter par la passion des fondatrices de l’Atelier Louves, un collectif artistique bruxellois.
Enfin, redécouvrons nos villes de manière originale à travers des parcours d’art urbain un peu partout en Wallonie et à Bruxelles.
Retour au débutAu programme
- Dossier : Venise... Avignon... Ce sentiment de l'été... Belge et intense...
- Culture : Le Tof Théâtre, 35 ans de marionnettes à taille humaine
- Portrait : Sarah Baatout, en route pour Mars
- Design : Atelier Louves - La force de la meute
- Jeunesse : "Je suis jeune, européen et volontaire"
- Coopération au développement : Un centre de formation, d'incubation et de coworking de nouvelle génération en codage et marketing digital à Casablanca
- Entreprise : Wallonia International Business Awards 2022 - Sept entreprises wallonnes performantes à l'étranger récompensées
- Innovation : Trail Institute : L'avenir radieux de Wallonie-Bruxelles
- Tourisme : En Ville ! Street Art et nouvelles technologies en Wallonie
- Survols
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Documents liés
«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.
Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.
L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.
La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.
Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.
L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.
Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.
Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.
«Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous» - Maxime Woitrin, Délégué général adjoint. Wallonie-Bruxelles.
Les filles au premier plan au Nigeria – Portraits d'agents du changement est une exposition de photos organisée par l'UNESCO, avec le soutien des Délégations Wallonie-Bruxelles et du Nigéria auprès de l'UNESCO.
L'exposition, au siège de l’UNESCO à Paris du 5 au 19 octobre 2022, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.
La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne Les filles au premier plan dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.
Le plaidoyer entrepris dans le cadre du projet au Nigeria a mis en évidence l'émergence d’agents du changement, qui, dotés de compétences, de ressources et de soutien, font progresser l'éducation des filles dans leurs communautés et contribuent à l'avènement de sociétés plus égalitaires.
L'exposition plaide pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation. Elle met en lumière les agents du changement et les défenseurs du progrès dans leurs communautés, responsabilisés par le travail du projet Les filles au premier plan au Nigeria.
Pour donner à ces portraits toute la visibilité qu’ils méritent, la Délégation Wallonie-Bruxelles à Paris a organisé avec le soutien de la Délégation du Nigéria un vernissage le mardi 11 octobre 2022. Cet événement, qui s’inscrivait dans les célébrations de la 10e édition de la journée internationale de la fille, a rassemblé une centaine de participants dont de nombreux diplomates, Ambassadeur, la Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay et la Sous-directrice générale à l’Éducation Stefania Giannini.
Lors de leurs interventions, la Sous-Directrice Éducation, l’Ambassadrice du Nigéria et le Délégué général adjoint Wallonie-Bruxelles, Maxime Woitrin, ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.
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Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).
Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :
- Les matériaux circulaires ;
- Les innovations pour une santé renforcée ;
- Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
- Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
- Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
- L’aéronautique et l’espace ;
- La digitalisation.
C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.
Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets.
Le mardi 11 octobre s’est déroulé de manière virtuelle la signature de la sélection définitive des projets de recherche conjoints déposés dans le cadre du Protocole d’Accord liant Wallonie-Bruxelles International (WBI) et le Conseil national brésilien des agences de financement des États (CONFAP).
Un Protocole d’Accord entre WBI et le CONFAP a été signé à Bruxelles en août 2020. L’objectif principal de cet accord est de soutenir des projets de coopération scientifique conjoints entre des groupes de recherche brésiliens et ceux de Wallonie-Bruxelles afin de favoriser les échanges et encourager une recherche de pointe entre les deux territoires.
Les thématiques de coopération prioritaires déterminées par Wallonie-Bruxelles et le partenaire brésilien sont les suivantes :
- Les matériaux circulaires ;
- Les innovations pour une santé renforcée ;
- Les innovations pour des modes de conception et de production agiles et sûrs ;
- Les systèmes énergétiques et habitat durables ;
- Les chaines agroalimentaires du futur et gestion innovante de l'environnement ;
- L’aéronautique et l’espace ;
- La digitalisation.
C’est dans ce contexte qu’a été lancé un appel à projets au premier semestre 2022 en vue de sélectionner une série de nouveaux projets de coopération conjoints pour la période 2022-2024. Dix-neuf Etats brésiliens ont manifesté leur intérêt à participer à l'appel à projets au travers du CONFAP, ce qui démontre la volonté du Brésil de développer les échanges scientifiques et académiques avec Wallonie-Bruxelles. Nous ne pouvons que nous réjouir d'une telle dynamique.
Au total, dix-neuf projets ont été déposés et ont fait l’objet d’une évaluation par les experts compétents. Compte tenu des financements disponibles au sein de chaque institution, des retombées économiques attendues et une répartition géographique au Brésil, ce sont finalement neuf projets qui ont pu être définitivement sélectionnés par WBI et le CONFAP.
WBI et le CONFAP se félicitent donc des projets de grande qualité qui ont pu être sélectionnés et remercient l’ensemble des opérateurs d’avoir manifesté leur intérêt en répondant de manière aussi active à cet appel à projets.
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Wallonie-Bruxelles International (WBI) célèbre les 40 ans de la diplomatie belge francophone.
À cette occasion, WBI organise différentes activités dont notamment la publication d’un dossier spécial « 40 ans » dans la Revue W+B, la diffusion de vidéos inédites et la tenue d’une cérémonie en 2023 au Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Dans le cadre de cet anniversaire, retour sur les moments forts de ces 40 ans de relations internationales.
> Découvrez les vidéos en bas de page
De manière assez inédite sur la scène internationale, la Constitution belge confère aux Communautés et aux Régions la politique internationale de leurs propres compétences. C’est dans ce cadre qu’a été instauré, en 1982, le Commissariat général aux Relations internationales (CGRI), la toute première institution chargée de mettre en œuvre la politique internationale de la Communauté française de Belgique. La création du CGRI ouvrira la voie à la diplomatie francophone, alors essentiellement axée sur la coopération culturelle, l’éducation et la promotion de la langue française.
A son tour, la Région wallonne développait sa propre politique internationale à travers une direction des relations internationales (DRI). En 2008, la fusion des deux administrations donnera naissance à Wallonie-Bruxelles International (WBI), avec l’ambition permanente de renforcer la cohérence et l’impact de notre action à l’international.
Au fil des réformes de l’Etat successives, les compétences des Régions et des Communautés ont été fortement élargies et, par extension, celles de WBI.
Aujourd’hui, WBI met en œuvre la politique internationale des trois gouvernements francophones de Belgique ; la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, dans des matières allant de la culture et l’éducation, à l’économie, en passant par l’environnement, les droits humains, le sport, la jeunesse, l’éducation, la recherche et la coopération au développement.
Depuis l’ouverture, à Québec, de la première Délégation de la Communauté française, en 1982 et le premier accord international bilatéral, signé le 7 février 1984, entre la Communauté française et le Bénin, un long chemin a été parcouru.
Ces célébrations seront l’occasion de revenir sur les temps forts de la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones mais aussi d’en évoquer les profondes transformations qui permettent désormais à la Belgique francophone d’entretenir des relations bilatérales avec près de 80 pays et des relations multilatérales avec des acteurs multilatéraux de premier plan (OIF, UNESCO, CDHNU, OMS, OIT…). C’est aussi l’occasion d’évoquer son avenir et le développement à l’international de secteurs de pointe majeurs comme l’innovation, les industries créatives ou encore le développement durable.
WBI a été conçu par le législateur pour assurer le rôle, en quelques sortes, de ministère des Affaires étrangères des francophones de Belgique avec une double mission, diplomatique et opérationnelle, afin d’assurer le rayonnement des francophones sur la scène internationale. Pour ce faire, WBI dispose d’un réseau diplomatique structuré sur les cinq continents, mais aussi d’agences sectorielles (WB Images, WB Musiques, WB Théâtre Danse, WB Architectures, WB Design Mode et WB Campus) ainsi que de centres culturels et scènes dynamiques à Paris, Avignon et Kinshasa.
En 40 ans, la diplomatie belge francophone a renforcé son soutien aux opérateurs, entrepreneurs, talents et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles grâce à ses réseaux diplomatiques sectoriels. Face aux défis qui existent dans un monde qui se complexifie, ce maillage international permet des synergies de plus en plus nombreuses et efficaces au profit de nos opérateurs et d’un impact plus important de nos entités.
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Wallonie-Bruxelles International célèbre 40 ans de diplomatie francophone
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Wallonie-Bruxelles International face aux défis du monde
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Wallonie-Bruxelles International et la Francophonie
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Wallonie-Bruxelles International au service des talents
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Wallonie-Bruxelles International face aux grands enjeux de l’avenir
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À cette occasion, WBI organise différentes activités dont notamment la publication d’un dossier spécial « 40 ans » dans la Revue W+B, la diffusion de vidéos inédites et la tenue d’une cérémonie en 2023 au Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Dans le cadre de cet anniversaire, retour sur les moments forts de ces 40 ans de relations internationales.
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De manière assez inédite sur la scène internationale, la Constitution belge confère aux Communautés et aux Régions la politique internationale de leurs propres compétences. C’est dans ce cadre qu’a été instauré, en 1982, le Commissariat général aux Relations internationales (CGRI), la toute première institution chargée de mettre en œuvre la politique internationale de la Communauté française de Belgique. La création du CGRI ouvrira la voie à la diplomatie francophone, alors essentiellement axée sur la coopération culturelle, l’éducation et la promotion de la langue française.
A son tour, la Région wallonne développait sa propre politique internationale à travers une direction des relations internationales (DRI). En 2008, la fusion des deux administrations donnera naissance à Wallonie-Bruxelles International (WBI), avec l’ambition permanente de renforcer la cohérence et l’impact de notre action à l’international.
Au fil des réformes de l’Etat successives, les compétences des Régions et des Communautés ont été fortement élargies et, par extension, celles de WBI.
Aujourd’hui, WBI met en œuvre la politique internationale des trois gouvernements francophones de Belgique ; la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, dans des matières allant de la culture et l’éducation, à l’économie, en passant par l’environnement, les droits humains, le sport, la jeunesse, l’éducation, la recherche et la coopération au développement.
Depuis l’ouverture, à Québec, de la première Délégation de la Communauté française, en 1982 et le premier accord international bilatéral, signé le 7 février 1984, entre la Communauté française et le Bénin, un long chemin a été parcouru.
Ces célébrations seront l’occasion de revenir sur les temps forts de la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones mais aussi d’en évoquer les profondes transformations qui permettent désormais à la Belgique francophone d’entretenir des relations bilatérales avec près de 80 pays et des relations multilatérales avec des acteurs multilatéraux de premier plan (OIF, UNESCO, CDHNU, OMS, OIT…). C’est aussi l’occasion d’évoquer son avenir et le développement à l’international de secteurs de pointe majeurs comme l’innovation, les industries créatives ou encore le développement durable.
WBI a été conçu par le législateur pour assurer le rôle, en quelques sortes, de ministère des Affaires étrangères des francophones de Belgique avec une double mission, diplomatique et opérationnelle, afin d’assurer le rayonnement des francophones sur la scène internationale. Pour ce faire, WBI dispose d’un réseau diplomatique structuré sur les cinq continents, mais aussi d’agences sectorielles (WB Images, WB Musiques, WB Théâtre Danse, WB Architectures, WB Design Mode et WB Campus) ainsi que de centres culturels et scènes dynamiques à Paris, Avignon et Kinshasa.
En 40 ans, la diplomatie belge francophone a renforcé son soutien aux opérateurs, entrepreneurs, talents et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles grâce à ses réseaux diplomatiques sectoriels. Face aux défis qui existent dans un monde qui se complexifie, ce maillage international permet des synergies de plus en plus nombreuses et efficaces au profit de nos opérateurs et d’un impact plus important de nos entités.
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La Revue W+B n°156 est disponible !
En cet été 2022, les festivals reprennent enfin vie. Après deux années complètement chamboulées, nos mois de juillet et août vont à nouveau pouvoir vibrer au rythme des concerts, des pièces de théâtre, des performances de rue et autres réjouissances dont nous avons malheureusement dû nous passer pendant plusieurs mois. De quoi faire du bien à notre moral, ainsi qu’à tous les artistes qui peuvent enfin reprendre la route.
C’est aussi l’occasion de mettre en lumière le Festival Le Court en dit long, festival de courts métrages de Wallonie-Bruxelles au Centre Wallonie-Bruxelles de Paris, qui fête ses 30 ans.
Ce numéro propose également de découvrir la Semaine du numérique à Québec, le programme IFADEM, la société Orthodyne ou encore le projet de simulation d’une mission habitée sur Mars.
Sans oublier le nouveau « Pass Wallonie », qui vous permettra de partir à la découverte des pépites wallonnes.
Enfin, rencontre avec Manon Lepomme, humoriste, et Chris Alexxa, créatrice de bijoux.
Retour au débutAu programme
- Dossier : Les festivals d'été reprennent vie
- Culture : Le Court en dit long, 30e édition du festival du court-métrage
- Portrait : Manon Lepomme, bilan de vie... à 33 ans !
- Mode : Chris Alexxa, une passion en or massif
- Innovation : Les magnifiques et captivantes avancées francophones sur Mars
- Jeunesse : Je ne suis pas un numérique mais un homme libre
- Coopération au développement : Après la RDC et le Sénégal, l'Apefe soutient la formation continue des enseignants au Bénin
- Entreprise : Une filiale américaine pour Orthodyne
- Tourisme : Un pass pour découvrir la Wallonie à prix réduits
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