Aller au contenu principal

« Factory of the Future », événement organisé pour les Awards Event 2023 par l’Agence du Numérique

En Wallonie, l’Agence wallonne du Numérique (AdN) a officiellement été créée au 1er janvier 2015. Société anonyme de droit public, elle a succédé à l’Agence wallonne des Télécommunications (AWT). Dans le cadre de la stratégie régionale en  matière de numérique (Digital Wallonia), depuis 2016, elle inspire et soutient le déploiement d’une stratégie régionale numérique. Cette stratégie est essentielle pour les entreprises et les citoyens, comme le rappelle Benoît Hucq, directeur général de l’AdN : « L’objet social de l’agence est très large et a pour but de faire de la Wallonie une terre d’excellence numérique avec une approche 360° ».

 

L’agence remplit ainsi quatre missions principales pour atteindre cet objectif : « une mission de veille sur les technologies et les usages innovants dans le cadre d’un territoire régional, une mission de promotion des usages et des opportunités que le numérique offre pour un territoire, une mission de transformation (mener des projets financés par la Région pour développer les usages) et une mission de gouvernance (gérer, suivre, mesurer la mise en œuvre des stratégies publiques, leur impact...) », ajoute-t-il.

Retour au début

L'expertise, axe central

Au quotidien, pour accomplir ces missions, l’ADN de l’AdN repose sur quatre axes forts : l’expertise (42 personnes qui y travaillent), une capacité à gérer des projets, un catalyseur (approche de valorisation des acteurs de l’écosystème) et la donnée (une agence qui part de la donnée pour mesurer la réalité du terrain et inspirer les politiques publiques). Annuellement, l’AdN propose des études fouillées sur la Wallonie numérique : « L’Observatoire du numérique offre des études approfondies sur des thématiques précises : sur la maturité numérique des entreprises ou sur celle des citoyens, alternativement tous les deux ans. On réalise aussi des baromètres plus ciblés sur la maturité numérique à l’école ou dans les communes et les  provinces », ajoute Benoît Hucq.

Retour au début

Economie numérique innovante, circulaire et créative

Au cœur de la stratégie Digital Wallonia, l’Agence du Numérique travaille en étroite collaboration avec le Gouvernement wallon, les différents services publics et Organismes d’Intérêt Public (OIP) de la Wallonie, les pôles de compétitivité, les  fédérations et représentants des secteurs économiques, mais aussi l’ensemble des acteurs de l’écosystème du numérique en Wallonie. «Economie, éducation, santé, aménagement territorial, citoyenneté... aucun domaine de notre société n’échappe à la transformation numérique. Par ailleurs, la vitesse et l’ampleur inédites de la transformation numérique imposent d’en adopter les règles : agilité, disruption, cocréation...».

 

Un exemple : le consortium qui pilote le programme « Industrie du Futur » agit comme catalyseur en fédérant les pôles de compétitivité, fédérations sectorielles, centres de recherche, clusters et acteurs de développement économique. 
 

Par ailleurs, dans le cadre du programme Digital Wallonia 4 Circular, l’Agence du Numérique et le Service Public de Wallonie (SPW) ont lancé une étude sur le rôle des technologies numériques dans la transition circulaire des entreprises wallonnes.  Dans le secteur numérique, la Wallonie peut aussi compter sur une industrie du jeu vidéo qui est devenue la première industrie culturelle mondiale. Walga (Association wallonne des studios de développement de jeux vidéos), avec le soutien public, a mis en place un plan pour développer l’écosystème gaming de la Wallonie qui possède déjà quelques ténors (Fishing Cactus, Appeal, Wild Bishop et Abrakam). 

Retour au début

L'importance de l'intelligence artificielle

Dans le cadre du programme de promotion de l’Intelligence Artificielle (IA) DigitalWallonia4ai, l’Agence du Numérique et ses partenaires ont également lancé un appel « Start IA » (un diagnostic de maturité, réalisé par un expert IA dans le cadre  d’une mission de minimum 40 heures) à destination des entreprises et organisations wallonnes actives dans l’industrie manufacturière.

 

L’initiative veut identifier des problématiques pouvant être adressées et solutionnées par les technologies d’intelligence artificielle. Il existe aussi le dispositif « Tremplin IA » qui vise, quant à lui, à dérisquer le développement d’un premier prototype (ou proof of concept) basé sur les technologies d’IA, et d’ainsi tester la faisabilité d’une première solution en IA. Deux initiatives d’autant plus importantes que les résultats du baromètre de maturité numérique des entreprises démontrent une évolution, entre 2020 et 2022, de 4 à 7% d’adoption de l’IA par les entreprises composées de 10 travailleurs et plus.
 

Dans le cadre du Plan de Relance de la Wallonie (PRW), le programme DigitalWallonia4ai (DW4.ai) a bénéficié d’un budget de près de 5 millions d’euros pour amplifier les actions liées à l’intelligence artificielle avec la volonté de positionner la  Belgique comme leader en intelligence artificielle à l’échelle européenne sur des secteurs clés tels que la santé, la biotech, l’industrie, l’aérospatial, la logistique…

Retour au début

Le défi des services publics

La digitalisation est aussi un enjeu crucial pour arriver à terme à avoir une administration 4.0. Cela s’est traduit ces dernières années notamment par la décision de déployer de nouveaux outils collaboratifs à l’ensemble des agents du SPW, devenus  essentiels pour couvrir l’hybridation du travail. De plus, une nouvelle entité (SPW digital) a été établie pour renforcer et rendre agile les usages du numérique au profit de la fonction de service public du SPW.

Retour au début

L'importance de la donnée ouverte

L’Agence du Numérique, avec ses partenaires, a été aussi l’architecte de la plateforme «Odwb.be» qui a pour but d’offrir un accès simplifié et transparent aux données publiques en Wallonie : l’environnement, l’éducation, la mobilité, l’énergie, le  service public, etc.

Retour au début

Formation des travailleurs

Pour optimaliser tous ces axes, il convient d’avoir des travailleurs formés : « Les outils évoluent dans les entreprises. Chaque employeur devra, à partir de l’année prochaine, avoir 4 jours de formation par personne. Le numérique fait partie de cette  dynamique. À cela s’ajoutent des actions plus ciblées notamment dans le domaine de la cybersécurité où les talents sont très recherchés », précise encore Benoît Hucq. En Wallonie, pour sensibiliser les jeunes et les moins jeunes à la formation à la  cybersécurité, il existe notamment « Capture The Flag ». Il s’agit d’un exercice qui propose une série de défis dans lesquels il faut trouver et soumettre la réponse, le «Flag», afin de prouver que l’on a bien résolu le problème.

 

Enfin, dans un autre domaine, les autorités sont aussi sensibles au développement de la Blockchain : « Il s’agit d’une dynamique transversale (Bitcoin, trajet de formation d’un étudiant...) qui s’incarne aujourd’hui au travers de l’initiative WalChain.  Cette dernière a pour mission la promotion de la technologie Blockchain auprès des entrepreneurs et des acteurs publics en Wallonie et la mise en place d’actions concrètes afin de favoriser son émergence et son usage. Nous restons réellement à l’écoute de toutes les évolutions », conclut Benoît Hucq.

Retour au début

5 axes forts

Sur le terrain, la stratégie Digital Wallonia se décline en cinq ambitions majeures qui assurent la cohérence et la pérennité des politiques mises en œuvre pour la transformation numérique de la Wallonie :

  1. les usages numériques (être les acteurs de notre avenir : donner à chacun la capacité de se saisir du numérique tout au long de sa vie pour vivre, travailler et s’épanouir)
  2. le territoire intelligent (garantir la qualité de notre cadre de vie : faire de notre territoire un laboratoire de solutions numériques innovantes pour le climat, la santé, l’environnement et la mobilité)
  3. une économie numérique (soutenir la croissance et l’emploi : accélérer et accompagner la transformation numérique des entreprises)
  4. une innovation numérique (développer notre excellence technologique : soutenir l’innovation du secteur du numérique pour capter la valeur ajoutée de l’économie numérique au profit de son territoire et de l’ensemble de ses secteurs d’activité)
  5. une administration numérique (devenir une région plateforme : développer un nouveau modèle de services publics tendant vers une “Wallonie As A Service”)
Retour au début

Un exemple concret : la Plateforme indemnités Covid-19

Face à la crise sanitaire liée à la Covid-19, le Gouvernement fédéral avait pris un certain nombre de mesures. Sur le terrain, en Wallonie, l’octroi sur demande d’une indemnité compensatoire avait réclamé la création d’une plateforme d’introduction  de demandes qui avait été développée par l’équipe du pôle « Technologie & Administration numérique » de l’Agence du Numérique. Mise en ligne dans un délai particulièrement court, cette plateforme est le fruit d’un partenariat réussi entre le SPW Economie Emploi et l’AdN.

Retour au début

A l'école aussi

Pour les plus jeunes notamment, le projet #WallCode de Digital Wallonia fédère les acteurs et les initiatives visant à développer les compétences numériques, particulièrement dans le domaine du coding et de la programmation informatique, de la  logique algorithmique et de la robotique. L’Agence du Numérique est à l’initiative du projet. L’opération s’articule autour de deux axes principaux : une offre d’animation coding à destination des élèves et une offre de formation des enseignants  aux sciences informatiques. « Par ailleurs, dans le cadre du Plan d’excellence et de la révision des troncs communs des compétences, à partir de la 3e primaire, l’éducation au numérique et aux médias est aussi incluse dans le cursus des élèves ». 

 

Par Vincent Liévin

 

Cet article est tiré de la Revue W+B n°162.

Retour au début

En Wallonie, l’Agence wallonne du Numérique (AdN) a officiellement été créée au 1er janvier 2015. Société anonyme de droit public, elle a succédé à l’Agence wallonne des Télécommunications (AWT). Dans le cadre de la stratégie régionale en  matière de numérique (Digital Wallonia), depuis 2016, elle inspire et soutient le déploiement d’une stratégie régionale numérique. Cette stratégie est essentielle pour les entreprises et les citoyens, comme le rappelle Benoît Hucq, directeur général de l’AdN : « L’objet social de l’agence est très large et a pour but de faire de la Wallonie une terre d’excellence numérique avec une approche 360° ».

 

L’agence remplit ainsi quatre missions principales pour atteindre cet objectif : « une mission de veille sur les technologies et les usages innovants dans le cadre d’un territoire régional, une mission de promotion des usages et des opportunités que le numérique offre pour un territoire, une mission de transformation (mener des projets financés par la Région pour développer les usages) et une mission de gouvernance (gérer, suivre, mesurer la mise en œuvre des stratégies publiques, leur impact...) », ajoute-t-il.

Retour au début

L'expertise, axe central

Au quotidien, pour accomplir ces missions, l’ADN de l’AdN repose sur quatre axes forts : l’expertise (42 personnes qui y travaillent), une capacité à gérer des projets, un catalyseur (approche de valorisation des acteurs de l’écosystème) et la donnée (une agence qui part de la donnée pour mesurer la réalité du terrain et inspirer les politiques publiques). Annuellement, l’AdN propose des études fouillées sur la Wallonie numérique : « L’Observatoire du numérique offre des études approfondies sur des thématiques précises : sur la maturité numérique des entreprises ou sur celle des citoyens, alternativement tous les deux ans. On réalise aussi des baromètres plus ciblés sur la maturité numérique à l’école ou dans les communes et les  provinces », ajoute Benoît Hucq.

Retour au début

Economie numérique innovante, circulaire et créative

Au cœur de la stratégie Digital Wallonia, l’Agence du Numérique travaille en étroite collaboration avec le Gouvernement wallon, les différents services publics et Organismes d’Intérêt Public (OIP) de la Wallonie, les pôles de compétitivité, les  fédérations et représentants des secteurs économiques, mais aussi l’ensemble des acteurs de l’écosystème du numérique en Wallonie. «Economie, éducation, santé, aménagement territorial, citoyenneté... aucun domaine de notre société n’échappe à la transformation numérique. Par ailleurs, la vitesse et l’ampleur inédites de la transformation numérique imposent d’en adopter les règles : agilité, disruption, cocréation...».

 

Un exemple : le consortium qui pilote le programme « Industrie du Futur » agit comme catalyseur en fédérant les pôles de compétitivité, fédérations sectorielles, centres de recherche, clusters et acteurs de développement économique. 
 

Par ailleurs, dans le cadre du programme Digital Wallonia 4 Circular, l’Agence du Numérique et le Service Public de Wallonie (SPW) ont lancé une étude sur le rôle des technologies numériques dans la transition circulaire des entreprises wallonnes.  Dans le secteur numérique, la Wallonie peut aussi compter sur une industrie du jeu vidéo qui est devenue la première industrie culturelle mondiale. Walga (Association wallonne des studios de développement de jeux vidéos), avec le soutien public, a mis en place un plan pour développer l’écosystème gaming de la Wallonie qui possède déjà quelques ténors (Fishing Cactus, Appeal, Wild Bishop et Abrakam). 

Retour au début

L'importance de l'intelligence artificielle

Dans le cadre du programme de promotion de l’Intelligence Artificielle (IA) DigitalWallonia4ai, l’Agence du Numérique et ses partenaires ont également lancé un appel « Start IA » (un diagnostic de maturité, réalisé par un expert IA dans le cadre  d’une mission de minimum 40 heures) à destination des entreprises et organisations wallonnes actives dans l’industrie manufacturière.

 

L’initiative veut identifier des problématiques pouvant être adressées et solutionnées par les technologies d’intelligence artificielle. Il existe aussi le dispositif « Tremplin IA » qui vise, quant à lui, à dérisquer le développement d’un premier prototype (ou proof of concept) basé sur les technologies d’IA, et d’ainsi tester la faisabilité d’une première solution en IA. Deux initiatives d’autant plus importantes que les résultats du baromètre de maturité numérique des entreprises démontrent une évolution, entre 2020 et 2022, de 4 à 7% d’adoption de l’IA par les entreprises composées de 10 travailleurs et plus.
 

Dans le cadre du Plan de Relance de la Wallonie (PRW), le programme DigitalWallonia4ai (DW4.ai) a bénéficié d’un budget de près de 5 millions d’euros pour amplifier les actions liées à l’intelligence artificielle avec la volonté de positionner la  Belgique comme leader en intelligence artificielle à l’échelle européenne sur des secteurs clés tels que la santé, la biotech, l’industrie, l’aérospatial, la logistique…

Retour au début

Le défi des services publics

La digitalisation est aussi un enjeu crucial pour arriver à terme à avoir une administration 4.0. Cela s’est traduit ces dernières années notamment par la décision de déployer de nouveaux outils collaboratifs à l’ensemble des agents du SPW, devenus  essentiels pour couvrir l’hybridation du travail. De plus, une nouvelle entité (SPW digital) a été établie pour renforcer et rendre agile les usages du numérique au profit de la fonction de service public du SPW.

Retour au début

L'importance de la donnée ouverte

L’Agence du Numérique, avec ses partenaires, a été aussi l’architecte de la plateforme «Odwb.be» qui a pour but d’offrir un accès simplifié et transparent aux données publiques en Wallonie : l’environnement, l’éducation, la mobilité, l’énergie, le  service public, etc.

Retour au début

Formation des travailleurs

Pour optimaliser tous ces axes, il convient d’avoir des travailleurs formés : « Les outils évoluent dans les entreprises. Chaque employeur devra, à partir de l’année prochaine, avoir 4 jours de formation par personne. Le numérique fait partie de cette  dynamique. À cela s’ajoutent des actions plus ciblées notamment dans le domaine de la cybersécurité où les talents sont très recherchés », précise encore Benoît Hucq. En Wallonie, pour sensibiliser les jeunes et les moins jeunes à la formation à la  cybersécurité, il existe notamment « Capture The Flag ». Il s’agit d’un exercice qui propose une série de défis dans lesquels il faut trouver et soumettre la réponse, le «Flag», afin de prouver que l’on a bien résolu le problème.

 

Enfin, dans un autre domaine, les autorités sont aussi sensibles au développement de la Blockchain : « Il s’agit d’une dynamique transversale (Bitcoin, trajet de formation d’un étudiant...) qui s’incarne aujourd’hui au travers de l’initiative WalChain.  Cette dernière a pour mission la promotion de la technologie Blockchain auprès des entrepreneurs et des acteurs publics en Wallonie et la mise en place d’actions concrètes afin de favoriser son émergence et son usage. Nous restons réellement à l’écoute de toutes les évolutions », conclut Benoît Hucq.

Retour au début

5 axes forts

Sur le terrain, la stratégie Digital Wallonia se décline en cinq ambitions majeures qui assurent la cohérence et la pérennité des politiques mises en œuvre pour la transformation numérique de la Wallonie :

  1. les usages numériques (être les acteurs de notre avenir : donner à chacun la capacité de se saisir du numérique tout au long de sa vie pour vivre, travailler et s’épanouir)
  2. le territoire intelligent (garantir la qualité de notre cadre de vie : faire de notre territoire un laboratoire de solutions numériques innovantes pour le climat, la santé, l’environnement et la mobilité)
  3. une économie numérique (soutenir la croissance et l’emploi : accélérer et accompagner la transformation numérique des entreprises)
  4. une innovation numérique (développer notre excellence technologique : soutenir l’innovation du secteur du numérique pour capter la valeur ajoutée de l’économie numérique au profit de son territoire et de l’ensemble de ses secteurs d’activité)
  5. une administration numérique (devenir une région plateforme : développer un nouveau modèle de services publics tendant vers une “Wallonie As A Service”)
Retour au début

Un exemple concret : la Plateforme indemnités Covid-19

Face à la crise sanitaire liée à la Covid-19, le Gouvernement fédéral avait pris un certain nombre de mesures. Sur le terrain, en Wallonie, l’octroi sur demande d’une indemnité compensatoire avait réclamé la création d’une plateforme d’introduction  de demandes qui avait été développée par l’équipe du pôle « Technologie & Administration numérique » de l’Agence du Numérique. Mise en ligne dans un délai particulièrement court, cette plateforme est le fruit d’un partenariat réussi entre le SPW Economie Emploi et l’AdN.

Retour au début

A l'école aussi

Pour les plus jeunes notamment, le projet #WallCode de Digital Wallonia fédère les acteurs et les initiatives visant à développer les compétences numériques, particulièrement dans le domaine du coding et de la programmation informatique, de la  logique algorithmique et de la robotique. L’Agence du Numérique est à l’initiative du projet. L’opération s’articule autour de deux axes principaux : une offre d’animation coding à destination des élèves et une offre de formation des enseignants  aux sciences informatiques. « Par ailleurs, dans le cadre du Plan d’excellence et de la révision des troncs communs des compétences, à partir de la 3e primaire, l’éducation au numérique et aux médias est aussi incluse dans le cursus des élèves ». 

 

Par Vincent Liévin

 

Cet article est tiré de la Revue W+B n°162.

Retour au début

Bouton - en savoir plus

Retour au début

Cours d'été de chinois intensif 

Cours d'été de 4 semaines à l'Université nationale Sun Yat-sen (NSYSU) comprenant des cours de mandarin, des activités culturelles et des excursions.

 

Les boursiers peuvent bénéficier d'une allocation du MOE de 26 000 NTD (condition : min. 15 participants)

 

Informations sur https://www.taiwanembassy.org/be_en/post/14749.html

Date limite de candidature : 29 février 2024

 

Veuillez noter que les participants doivent être âgés de plus de 18 ans et être inscrits dans un établissement d'enseignement de la région du Benelux (la nationalité n'a pas d'importance) afin d'être éligibles.

 

La NSYSU ne dispose que d'un nombre limité de places, les étudiants seront donc acceptés selon le principe du premier arrivé, premier servi.

Retour au début

Bourses de langue chinoise – Huayu

L’objectif du programme Bourses de langue chinoise – Huayu Enrichment Scholarship du Ministère de l’Education à Taïwan, mis en place par le Taipei Representative Office in the EU and Belgium, est d’encourager les citoyens belges et luxembourgeois à apprendre le mandarin dans des centres de langue rattachés aux universités taïwanaises.

 

Ce programme vise également à:

  • Aider les destinataires de bourse à acquérir une meilleure maîtrise de la langue chinoise, et par conséquent d'une plus grande compréhension et appréciation de la culture de Taiwan,
  • Promouvoir l'amitié entre les personnes de Taiwan et des pays du monde entier,
  • Augmenter les possibilités d'échange avec les institutions de formation internationales.

Les boursiers bénéficient:

  • de 2 à 9 mois d'apprentissage du chinois dans le centre linguistique de leur choix à Taïwan.
  • d'une allocation mensuelle de 25.000 NTD

Informations sur https://roc-taiwan.org/be_en/post/14954.html

Date limite de candidature : 15 avril 2024

 

Veuillez noter que le bureau de représentation de Taipei dans l'UE et en Belgique ne peut accepter que les demandes de bourses d'enrichissement de Taïwan et de Huayu émanant de ressortissants belges et luxembourgeois. Les personnes d'autres nationalités doivent s'adresser au bureau de Taipei de leur pays d'origine ou au bureau le plus proche.

Retour au début

Bourses Taiwan

L’objectif du programme Bourses Taiwan mis en place par le Taipei Representative Office in the EU and Belgium est d’encourager les étudiants belges et luxembourgeois prometteurs à poursuivre leurs études universitaires à Taiwan pour se familiariser avec l’environnement académique de Taiwan et pour promouvoir la communication, la compréhension et l’amitié entre Taiwan et la communauté internationale.  

 

Les boursiers peuvent suivre un programme de licence, de master ou de doctorat dans l'université de leur choix à Taïwan (programmes en anglais et en chinois disponibles).

 

Ils bénéficient:

  • d'une exemption des frais de scolarité
  • d'une allocation mensuelle de 15 000 ou 20 000 NTD

Informations sur https://roc-taiwan.org/be_en/post/14944.html

Date limite de candidature : 15 avril 2024

Retour au début
Retour au début

Cours d'été de chinois intensif 

Cours d'été de 4 semaines à l'Université nationale Sun Yat-sen (NSYSU) comprenant des cours de mandarin, des activités culturelles et des excursions.

 

Les boursiers peuvent bénéficier d'une allocation du MOE de 26 000 NTD (condition : min. 15 participants)

 

Informations sur https://www.taiwanembassy.org/be_en/post/14749.html

Date limite de candidature : 29 février 2024

 

Veuillez noter que les participants doivent être âgés de plus de 18 ans et être inscrits dans un établissement d'enseignement de la région du Benelux (la nationalité n'a pas d'importance) afin d'être éligibles.

 

La NSYSU ne dispose que d'un nombre limité de places, les étudiants seront donc acceptés selon le principe du premier arrivé, premier servi.

Retour au début

Bourses de langue chinoise – Huayu

L’objectif du programme Bourses de langue chinoise – Huayu Enrichment Scholarship du Ministère de l’Education à Taïwan, mis en place par le Taipei Representative Office in the EU and Belgium, est d’encourager les citoyens belges et luxembourgeois à apprendre le mandarin dans des centres de langue rattachés aux universités taïwanaises.

 

Ce programme vise également à:

  • Aider les destinataires de bourse à acquérir une meilleure maîtrise de la langue chinoise, et par conséquent d'une plus grande compréhension et appréciation de la culture de Taiwan,
  • Promouvoir l'amitié entre les personnes de Taiwan et des pays du monde entier,
  • Augmenter les possibilités d'échange avec les institutions de formation internationales.

Les boursiers bénéficient:

  • de 2 à 9 mois d'apprentissage du chinois dans le centre linguistique de leur choix à Taïwan.
  • d'une allocation mensuelle de 25.000 NTD

Informations sur https://roc-taiwan.org/be_en/post/14954.html

Date limite de candidature : 15 avril 2024

 

Veuillez noter que le bureau de représentation de Taipei dans l'UE et en Belgique ne peut accepter que les demandes de bourses d'enrichissement de Taïwan et de Huayu émanant de ressortissants belges et luxembourgeois. Les personnes d'autres nationalités doivent s'adresser au bureau de Taipei de leur pays d'origine ou au bureau le plus proche.

Retour au début

Bourses Taiwan

L’objectif du programme Bourses Taiwan mis en place par le Taipei Representative Office in the EU and Belgium est d’encourager les étudiants belges et luxembourgeois prometteurs à poursuivre leurs études universitaires à Taiwan pour se familiariser avec l’environnement académique de Taiwan et pour promouvoir la communication, la compréhension et l’amitié entre Taiwan et la communauté internationale.  

 

Les boursiers peuvent suivre un programme de licence, de master ou de doctorat dans l'université de leur choix à Taïwan (programmes en anglais et en chinois disponibles).

 

Ils bénéficient:

  • d'une exemption des frais de scolarité
  • d'une allocation mensuelle de 15 000 ou 20 000 NTD

Informations sur https://roc-taiwan.org/be_en/post/14944.html

Date limite de candidature : 15 avril 2024

Retour au début

Bouton - en savoir plus

Ecoutez-vous le belge ? | Avec... RORI

RORI, jeune auteure, compositrice et interprète, bouscule la scène musicale belge depuis quelques années. Après avoir fait ses premiers pas dans la musique au sein du groupe BEFFROI, elle se lance en solo en 2020 et livre ses premiers singles qui suscitent directement l’attention des médias et des radios du pays. En 2022, RORI est prête à s’assumer et elle prend la décision de chanter exclusivement en français. 

Retour au début

Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme universitaire/de niveau universitaire (master) permettant d’accéder à une fonction du niveau A au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Diplôme en droit, une orientation en droit public et/ou administratif constitue un atout 
  • Une expérience professionnelle équivalente à 5 années dans le domaine du droit public, ou domaine connexe sera considérée un atout prépondérant (preuves à fournir)
  • Une expérience ou bonne connaissance du droit français est un atout 
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
Retour au début

Description de la fonction

La Coopération Territoriale Européenne (CTE) est un axe important de la politique de cohésion de l’Union européenne permettant de favoriser tous les échanges transfrontaliers et transnationaux en Europe. La politique de cohésion couvre aujourd’hui 1/3 du budget de l’Union européenne. Elle constitue le principal outil d'investissement de l'UE pour atteindre les objectifs « Europe 2020 » : créer de la croissance et des emplois, s'attaquer au changement climatique et à la dépendance énergétique et réduire la pauvreté et l'exclusion sociale.

 

WBI est l’acteur principal de la mise en œuvre de la CTE en Région wallonne et Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis 1990, c’est sous le nom des divers programmes INTERREG que la CTE est plus communément connue des citoyens.

 

INTERREG fait travailler ensemble des acteurs issus d’Etats membres différents, qu’ils soient contigus ou pas. Cependant on ne coopère pas de la même façon avec un voisin proche ou un voisin lointain.

 

C’est pourquoi l’Union européenne a organisé la CTE en 3 types des programmes. La liste des programmes Interreg dont WBI est partie prenante est reprise ci-dessous :

• la coopération transfrontalière : France-Wallonie-Vlaanderen, Euregio/Meuse-Rhin et Grande Région 
• la coopération transnationale : Europe du Nord-Ouest
• la coopération interrégionale : Europe, URBACT et INTERACT

 

WBI intervient dans ces 3 types de coopération afin que sur notre territoire, les programmes soient mis en œuvre de façon efficace. Il s’agit d’être partie prenante dans la mise en place incontournable, des structures administratives, budgétaires et de contrôle imposées par les règlements de l’UE et dans les comités de suivi et de sélection des projets, jusqu’à l’accompagnement sur le terrain des porteurs de projets.

Le projet stratégique « Résolution des obstacles juridiques et administratifs à la coopération franco-belge »

Dans le cadre du programme Interreg VI France-Wallonie-Vlaanderen, le projet stratégique « Résolution des obstacles juridiques et administratifs à la coopération franco-belge » s’inscrit dans la priorité 5 du Programme de coopération « Renforcer les capacités des autorités publiques dans le processus de prise de décision et d’organisation de la gouvernance et de la coopération territoriale” et dans l’objectif spécifique 6.2 « Contribuer à l’efficacité de l’administration publique en favorisant la coopération juridique et administrative, ainsi que la coopération entre les citoyens, les acteurs de la société civile et les institutions, notamment en vue de remédier aux obstacles juridiques et autres dans les régions frontalières ».

 

Sur base du programme opérationnel et prenant comme base les résultats du diagnostic du Groupe de travail parlementaire franco-belge sur les obstacles juridiques et administratifs à la coopération transfrontalière, l’objectif du projet est la mise en place d’une méthode très opérationnelle pour la levée des obstacles juridiques et administratifs à la coopération transfrontalière franco-belge.

 

La réalisation des missions du projet sera confiée à un comité opérationnel s’appuyant sur les structures suivantes : SGAR Hauts-de-France, Wallonie-Bruxelles international, Région flamande.
La durée estimée du projet est d’environ 7 ans, du novembre au juin 2030 selon la date de démarrage.

Retour au début

Missions/responsabilités 

L’agent travaillera sous la responsabilité de la Coordinatrice du département CTE et Europe des voisins, de l’Inspecteur général en charge des Affaires bilatérales et de la CTE et de l’Administratrice générale de WBI.

 

L’agent est responsable de la mise en œuvre du projet dans toutes ses composantes et travaille en étroite collaboration avec le Comité opérationnel, le Comité de pilotage restreint du projet, les représentants du versant wallon, le Secrétariat Conjoint et l’Autorité de Gestion du programme.


Activités correspondantes 

  • Mise en œuvre des actions prévues dans les modules de travail du projet
  • Préparation et suivi des réunions du consortium opérationnel
  • Elaboration de la stratégie du projet : proposition des plans d’actions annuels ou bisannuels pour validation du Comité de suivi du Programme, identification des thématiques, identification des partenaires idoines
  • Suivi opérationnel : suivi des indicateurs du projet, contribution à la rédaction des rapports d’activités
  • Suivi financier : suivi budgétaire des dépenses, suivi des déclarations de créance
  • Contribution à l’évaluation du projet
  • Organisation des actions de communication telles que prescrit par le règlement européen et participation active aux événements de communication
Retour au début

Connaissances

  • Maîtrise parfaite, tant à l’oral qu’à l’écrit, de la langue française 
  • Maîtrise des outils de bureautique
  • Connaissance approfondie du droit administratif et public belge ; une connaissance du droit administratif et public français constitue un atout
  • Capacité à travailler avec des ensembles de données complexes et hétérogènes
  • Excellente connaissance des systèmes administratif et institutionnel (Wallonie et Fédération Wallonie-Bruxelles), et des institutions et compétences de l’Union européenne 
  • Bonne connaissance des enjeux liés à la coopération transfrontalière
  • Expérience dans la gestion de comités ou de groupes de travail est un plus
  • Bonnes compétences en communication et en présentation pour partager les résultats de travaux avec différents publics, y compris les décideurs politiques et le grand public
  • La maitrise du néerlandais est considérée un atout (niveau B2)
Retour au début

Sélection

1. Epreuve écriteCette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

 

2. Epreuve finaleIl s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

 

Les épreuves se dérouleront à Bruxelles.

Retour au début

Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 31 janvier 2024 à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend 

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation 
  • un curriculum vitae détaillé
  • toute preuve utile d’expérience professionnelle

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Retrouvez l'offre d'emploi détaillée en pièce jointe.

 

 

Retour au début
Retour au début

Conditions d'engagement

  • Etre titulaire d’un Diplôme universitaire/de niveau universitaire (master) permettant d’accéder à une fonction du niveau A au moins telle que définie dans l’arrêté des Gouvernement wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles portant statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de Wallonie Bruxelles International (WBI) (ainsi que l’attestation d’équivalence dans le cas d’un diplôme autre que belge. Procédure : Fédération Wallonie-Bruxelles - 02/690.89.00 – http://www.equivalences.cfwb.be/)
  • Diplôme en droit, une orientation en droit public et/ou administratif constitue un atout 
  • Une expérience professionnelle équivalente à 5 années dans le domaine du droit public, ou domaine connexe sera considérée un atout prépondérant (preuves à fournir)
  • Une expérience ou bonne connaissance du droit français est un atout 
  • Etre de bonne conduite et de bonne moralité 
  • Jouir des droits civils et politiques 
  • Posséder les aptitudes requises pour la fonction
Retour au début

Description de la fonction

La Coopération Territoriale Européenne (CTE) est un axe important de la politique de cohésion de l’Union européenne permettant de favoriser tous les échanges transfrontaliers et transnationaux en Europe. La politique de cohésion couvre aujourd’hui 1/3 du budget de l’Union européenne. Elle constitue le principal outil d'investissement de l'UE pour atteindre les objectifs « Europe 2020 » : créer de la croissance et des emplois, s'attaquer au changement climatique et à la dépendance énergétique et réduire la pauvreté et l'exclusion sociale.

 

WBI est l’acteur principal de la mise en œuvre de la CTE en Région wallonne et Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis 1990, c’est sous le nom des divers programmes INTERREG que la CTE est plus communément connue des citoyens.

 

INTERREG fait travailler ensemble des acteurs issus d’Etats membres différents, qu’ils soient contigus ou pas. Cependant on ne coopère pas de la même façon avec un voisin proche ou un voisin lointain.

 

C’est pourquoi l’Union européenne a organisé la CTE en 3 types des programmes. La liste des programmes Interreg dont WBI est partie prenante est reprise ci-dessous :

• la coopération transfrontalière : France-Wallonie-Vlaanderen, Euregio/Meuse-Rhin et Grande Région 
• la coopération transnationale : Europe du Nord-Ouest
• la coopération interrégionale : Europe, URBACT et INTERACT

 

WBI intervient dans ces 3 types de coopération afin que sur notre territoire, les programmes soient mis en œuvre de façon efficace. Il s’agit d’être partie prenante dans la mise en place incontournable, des structures administratives, budgétaires et de contrôle imposées par les règlements de l’UE et dans les comités de suivi et de sélection des projets, jusqu’à l’accompagnement sur le terrain des porteurs de projets.

Le projet stratégique « Résolution des obstacles juridiques et administratifs à la coopération franco-belge »

Dans le cadre du programme Interreg VI France-Wallonie-Vlaanderen, le projet stratégique « Résolution des obstacles juridiques et administratifs à la coopération franco-belge » s’inscrit dans la priorité 5 du Programme de coopération « Renforcer les capacités des autorités publiques dans le processus de prise de décision et d’organisation de la gouvernance et de la coopération territoriale” et dans l’objectif spécifique 6.2 « Contribuer à l’efficacité de l’administration publique en favorisant la coopération juridique et administrative, ainsi que la coopération entre les citoyens, les acteurs de la société civile et les institutions, notamment en vue de remédier aux obstacles juridiques et autres dans les régions frontalières ».

 

Sur base du programme opérationnel et prenant comme base les résultats du diagnostic du Groupe de travail parlementaire franco-belge sur les obstacles juridiques et administratifs à la coopération transfrontalière, l’objectif du projet est la mise en place d’une méthode très opérationnelle pour la levée des obstacles juridiques et administratifs à la coopération transfrontalière franco-belge.

 

La réalisation des missions du projet sera confiée à un comité opérationnel s’appuyant sur les structures suivantes : SGAR Hauts-de-France, Wallonie-Bruxelles international, Région flamande.
La durée estimée du projet est d’environ 7 ans, du novembre au juin 2030 selon la date de démarrage.

Retour au début

Missions/responsabilités 

L’agent travaillera sous la responsabilité de la Coordinatrice du département CTE et Europe des voisins, de l’Inspecteur général en charge des Affaires bilatérales et de la CTE et de l’Administratrice générale de WBI.

 

L’agent est responsable de la mise en œuvre du projet dans toutes ses composantes et travaille en étroite collaboration avec le Comité opérationnel, le Comité de pilotage restreint du projet, les représentants du versant wallon, le Secrétariat Conjoint et l’Autorité de Gestion du programme.


Activités correspondantes 

  • Mise en œuvre des actions prévues dans les modules de travail du projet
  • Préparation et suivi des réunions du consortium opérationnel
  • Elaboration de la stratégie du projet : proposition des plans d’actions annuels ou bisannuels pour validation du Comité de suivi du Programme, identification des thématiques, identification des partenaires idoines
  • Suivi opérationnel : suivi des indicateurs du projet, contribution à la rédaction des rapports d’activités
  • Suivi financier : suivi budgétaire des dépenses, suivi des déclarations de créance
  • Contribution à l’évaluation du projet
  • Organisation des actions de communication telles que prescrit par le règlement européen et participation active aux événements de communication
Retour au début

Connaissances

  • Maîtrise parfaite, tant à l’oral qu’à l’écrit, de la langue française 
  • Maîtrise des outils de bureautique
  • Connaissance approfondie du droit administratif et public belge ; une connaissance du droit administratif et public français constitue un atout
  • Capacité à travailler avec des ensembles de données complexes et hétérogènes
  • Excellente connaissance des systèmes administratif et institutionnel (Wallonie et Fédération Wallonie-Bruxelles), et des institutions et compétences de l’Union européenne 
  • Bonne connaissance des enjeux liés à la coopération transfrontalière
  • Expérience dans la gestion de comités ou de groupes de travail est un plus
  • Bonnes compétences en communication et en présentation pour partager les résultats de travaux avec différents publics, y compris les décideurs politiques et le grand public
  • La maitrise du néerlandais est considérée un atout (niveau B2)
Retour au début

Sélection

1. Epreuve écriteCette épreuve sera destinée à évaluer les compétences des candidats. Les candidats ayant obtenu les 10 meilleurs résultats à l’épreuve écrite (60% des points minimum) sont invités à l’épreuve finale.

 

2. Epreuve finaleIl s’agira d’une épreuve orale sous forme d’un entretien visant à évaluer le profil du candidat en accord avec les compétences, la motivation et les affinités avec le travail sur le terrain.

 

Les épreuves se dérouleront à Bruxelles.

Retour au début

Dossier de candidature

Le dossier de candidature est à envoyer par courriel (recrutement@wbi.be) ou par courrier postal (cachet de la poste faisant foi), au plus tard le 31 janvier 2024 à minuit, à l’attention de :

 

Madame Pascale Delcomminette
Administratrice générale de WBI
Place Sainctelette, 2
B-1080 Bruxelles

 

Le dossier de candidature comprend 

  • une copie du/des diplôme(s) [accompagnée(s) de l’équivalence dans le cas de diplôme(s) non belge(s)] 
  • une lettre de motivation 
  • un curriculum vitae détaillé
  • toute preuve utile d’expérience professionnelle

Un dossier incomplet ou envoyé hors délai n’est pas pris en compte.

 

Retrouvez l'offre d'emploi détaillée en pièce jointe.

 

 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia
Retour au début

Présentation générale du programme

Les auxiliaires de conversation en langue française sélectionné.e.s par WBI sont appelé.e.s à soutenir l’enseignement du français par les professeur.e.s locaux.ales dans des classes de l’enseignement secondaire et à promouvoir la langue française et la culture francophone de Belgique à l'étranger (Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Royaume-Uni, République d'Irlande, Suisse alémanique et Taïwan).

Le soutien consiste à disposer d’une bourse ou d’un salaire pour la durée de l’assistanat versé par le pays d’accueil et de voir ses frais de voyage pris en charge par WBI.

 

L’auxiliaire sera amené à :

  • Consacrer 12 heures à 16 heures par semaine à l’approche du français (+ préparations des cours et participation aux activités extrascolaires) et de son enseignement essentiellement centré sur l’oralité en soutien aux professeurs de français locaux à différents niveaux scolaires en fonction du pays.

  • Être un représentant de Wallonie-Bruxelles à l’étranger : promouvoir la langue française et la culture francophone de Belgique ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles dans un esprit d’intensification des relations culturelles, économiques et politiques avec les pays partenaires.

 

Retour au début

Profil des candidat(e)s 

Pour participer à ce programme, vous devez:

  • Avoir moins de 35 ans (moins de 30 ans pour l’Italie) ;
  • Avoir le français comme langue maternelle ou avoir une connaissance approfondie attestée du français (niveau C2+) ;
  • Être résident(e) belge depuis au moins 1 an ;
  • Être soit diplômé·e d’une institution d’enseignement supérieur organisée ou subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles (Bac ou Master), soit étudiant·e en cours de formation ayant réussi au moins trois années d’études ;

 

Retour au début

Introduction des candidatures (délais, formulaires…)

Le délai de présentation des candidatures est fixé au 15 février 2024.

 

Retrouvez les informations complètes sur la page consacrée au programme "Devenir auxiliaire de conversation en langue française à l'étranger"

Retour au début
Retour au début

Présentation générale du programme

Les auxiliaires de conversation en langue française sélectionné.e.s par WBI sont appelé.e.s à soutenir l’enseignement du français par les professeur.e.s locaux.ales dans des classes de l’enseignement secondaire et à promouvoir la langue française et la culture francophone de Belgique à l'étranger (Allemagne, Autriche, Espagne, Italie, Royaume-Uni, République d'Irlande, Suisse alémanique et Taïwan).

Le soutien consiste à disposer d’une bourse ou d’un salaire pour la durée de l’assistanat versé par le pays d’accueil et de voir ses frais de voyage pris en charge par WBI.

 

L’auxiliaire sera amené à :

  • Consacrer 12 heures à 16 heures par semaine à l’approche du français (+ préparations des cours et participation aux activités extrascolaires) et de son enseignement essentiellement centré sur l’oralité en soutien aux professeurs de français locaux à différents niveaux scolaires en fonction du pays.

  • Être un représentant de Wallonie-Bruxelles à l’étranger : promouvoir la langue française et la culture francophone de Belgique ainsi que l’image et les atouts de Wallonie-Bruxelles dans un esprit d’intensification des relations culturelles, économiques et politiques avec les pays partenaires.

 

Retour au début

Profil des candidat(e)s 

Pour participer à ce programme, vous devez:

  • Avoir moins de 35 ans (moins de 30 ans pour l’Italie) ;
  • Avoir le français comme langue maternelle ou avoir une connaissance approfondie attestée du français (niveau C2+) ;
  • Être résident(e) belge depuis au moins 1 an ;
  • Être soit diplômé·e d’une institution d’enseignement supérieur organisée ou subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles (Bac ou Master), soit étudiant·e en cours de formation ayant réussi au moins trois années d’études ;

 

Retour au début

Introduction des candidatures (délais, formulaires…)

Le délai de présentation des candidatures est fixé au 15 février 2024.

 

Retrouvez les informations complètes sur la page consacrée au programme "Devenir auxiliaire de conversation en langue française à l'étranger"

Retour au début

Bouton - en savoir plus

URBACT lance début 2024 un nouvel appel à candidatures.

URBACT est un programme européen d’échanges pour un développement urbain durable. Il soutient la coopération entre villes européennes pour favoriser leur développement économique, social et environnemental.

 

Il s'agit d'une nouvelle opportunité pour les villes belges de rejoindre un réseau de villes URBACT. L'idée est cette fois de donner aux villes participantes la possibilité de reproduire des projets innovants qui ont fait leurs preuves dans le cadre d’Urban Innovative Actions. Soit une nouvelle opportunité de s'équiper pour mettre en œuvre des politiques urbaines durables. 

 

Pour connaître toutes les informations sur cet appel à candidatures, le point de contact national URBACT organise une session d’information le 8 février prochain à Bruxelles, au siège de Wallonie-Bruxelles International.

 

Les inscriptions se font ici

Consultez le programme!

URBACT lance début 2024 un nouvel appel à candidatures.

URBACT est un programme européen d’échanges pour un développement urbain durable. Il soutient la coopération entre villes européennes pour favoriser leur développement économique, social et environnemental.

 

Il s'agit d'une nouvelle opportunité pour les villes belges de rejoindre un réseau de villes URBACT. L'idée est cette fois de donner aux villes participantes la possibilité de reproduire des projets innovants qui ont fait leurs preuves dans le cadre d’Urban Innovative Actions. Soit une nouvelle opportunité de s'équiper pour mettre en œuvre des politiques urbaines durables. 

 

Pour connaître toutes les informations sur cet appel à candidatures, le point de contact national URBACT organise une session d’information le 8 février prochain à Bruxelles, au siège de Wallonie-Bruxelles International.

 

Les inscriptions se font ici

Consultez le programme!

Bouton - en savoir plus

C’est aussi l’occasion d’accueillir des délégations afin de promouvoir vos actions au niveau européen. Vous trouverez le programme complet sur le site officiel.

Trois dates principales à retenir pour participer 

  • Du 20 au 23 février à Bruxelles : rejoignez la délégation FWB à la conférence européenne sur le travail local et la démocratie – information et inscription ici avant le 19 janvier.
  • Du 2 au 5 mars à Gand : la Conférence européenne de la jeunesse (inscriptions closes pour les activités).
  • Le 26 mars de 14h00 à 16h00 : accueillez dans votre structure une délégation de responsables du secteur jeunesse (directeurs) de plusieurs États membres (un groupe de maximum 20 responsables). Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à christophe.bruchansky@cfwb.be.

La présidence du Conseil de l’Union européenne, qu’est-ce que c’est ? 

 

En tant que président du Conseil, notre pays assurera la conduite de l’agenda européen et la promotion de la collaboration entre les États membres. L’objectif est de renforcer l’Union européenne (UE) et de progresser dans plusieurs domaines, tels que le changement climatique, la croissance économique et la cohésion sociale. Dans ce cadre, la Belgique jouera le rôle d’intermédiaire neutre pour diriger les travaux législatifs et rechercher des compromis entre les États membres de l’UE.

 

Retrouvez les opportunités à l'International pour les jeunes et les acteurs du secteurs jeunesse sur le site du Bureau International de la Jeunesse (BIJ).

C’est aussi l’occasion d’accueillir des délégations afin de promouvoir vos actions au niveau européen. Vous trouverez le programme complet sur le site officiel.

Trois dates principales à retenir pour participer 

  • Du 20 au 23 février à Bruxelles : rejoignez la délégation FWB à la conférence européenne sur le travail local et la démocratie – information et inscription ici avant le 19 janvier.
  • Du 2 au 5 mars à Gand : la Conférence européenne de la jeunesse (inscriptions closes pour les activités).
  • Le 26 mars de 14h00 à 16h00 : accueillez dans votre structure une délégation de responsables du secteur jeunesse (directeurs) de plusieurs États membres (un groupe de maximum 20 responsables). Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à christophe.bruchansky@cfwb.be.

La présidence du Conseil de l’Union européenne, qu’est-ce que c’est ? 

 

En tant que président du Conseil, notre pays assurera la conduite de l’agenda européen et la promotion de la collaboration entre les États membres. L’objectif est de renforcer l’Union européenne (UE) et de progresser dans plusieurs domaines, tels que le changement climatique, la croissance économique et la cohésion sociale. Dans ce cadre, la Belgique jouera le rôle d’intermédiaire neutre pour diriger les travaux législatifs et rechercher des compromis entre les États membres de l’UE.

 

Retrouvez les opportunités à l'International pour les jeunes et les acteurs du secteurs jeunesse sur le site du Bureau International de la Jeunesse (BIJ).

Bouton - en savoir plus

© Belgian Presidency of the Council of the European Union / Julien Nizet

Cette réunion informelle doit permettre aux Ministres européens de l’Emploi et des Affaires sociales d’amorcer les discussions sur l’avenir de la politique sociale et de l’emploi dans l’UE et de contribuer ainsi à la définition des grandes lignes du futur agenda stratégique de la prochaine Commission.


Au programme des deux jours de débats : l’accès à la protection sociale, les pénuries sur le marché du travail et les besoins en formation, les conditions de travail, les salaires ou encore les politiques sociales et d’inclusion.

Grandes avancées et nouveaux défis à l'horizon

Grâce au plan d’action de la Commission durant cette législature, l'Union Européenne a intensifié son engagement dans le domaine social. Des initiatives marquantes incluent la directive sur le salaire minimum, celle sur la transparence des rémunérations, et l'initiative SURE visant à soutenir l'emploi pendant la pandémie de Covid.


Cependant, de nouveaux défis liés au changement climatique, à la numérisation, à l'évolution démographique, à la crise du logement, et à la géopolitique exigent une réponse vigoureuse. Ces évolutions offrent des opportunités, mais comportent aussi des risques d'exclusion sociale, de polarisation de l'emploi, ainsi que de détérioration des salaires et des conditions de travail.


Les Ministres, partenaires sociaux, et autres délégués ont discuté des politiques nécessaires pour renforcer la résilience des marchés du travail, du système social, et de l'économie dans l'UE face à des chocs imprévus. Ils ont mis l'accent sur le rôle crucial du dialogue social et ont souligné l'importance des politiques visant à renforcer l'égalité, notamment entre les hommes et les femmes, et des politiques ne laissant personne de côté.

Pénuries de main-d’œuvre, protection sociale et inclusion

Les Ministres et les autres participants ont eu des discussions plus approfondies dans le cadre de séances en petits groupes. Lors de la première séance, présidée par la Ministre wallonne Christie Morreale - en tant qu’« assesseur » officiel pendant la Présidence belge - les délégués ont examiné les défis croissants liés aux pénuries de main-d’œuvre dans l'UE. Les instruments politiques pour relever ce défi, notamment le rôle crucial des politiques de compétences, ont été mis en lumière, tout en insistant sur l'amélioration des conditions de travail dans les secteurs en pénurie.


Les autres sessions ont abordé le programme SURE, l’accès à la protection sociale, et l’importance des services sociaux de qualité. Les débats sur ces derniers ont révélé des défis tels que le manque de coordination, la diversité des assurances et normes de qualité, ainsi que des déficits de financement dans un contexte budgétaire tendu.

Par-delà les frontières

Les sessions plénières du vendredi 12 janvier ont porté sur les frontières de l'UE et au-delà, mettant en avant la nécessité de promouvoir les droits sociaux et du travail à l'échelle mondiale pour préserver le modèle social européen. L'élargissement de l'UE sera également abordé, avec l'objectif de favoriser le progrès social dans les pays candidats, tout en maintenant l'égalité des chances sociales dans le marché unique européen.

 

Pour plus d’informations sur cette première réunion informelle et les événements de la Présidence, consultez www.belgium24.EU

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

Cette réunion informelle doit permettre aux Ministres européens de l’Emploi et des Affaires sociales d’amorcer les discussions sur l’avenir de la politique sociale et de l’emploi dans l’UE et de contribuer ainsi à la définition des grandes lignes du futur agenda stratégique de la prochaine Commission.


Au programme des deux jours de débats : l’accès à la protection sociale, les pénuries sur le marché du travail et les besoins en formation, les conditions de travail, les salaires ou encore les politiques sociales et d’inclusion.

Grandes avancées et nouveaux défis à l'horizon

Grâce au plan d’action de la Commission durant cette législature, l'Union Européenne a intensifié son engagement dans le domaine social. Des initiatives marquantes incluent la directive sur le salaire minimum, celle sur la transparence des rémunérations, et l'initiative SURE visant à soutenir l'emploi pendant la pandémie de Covid.


Cependant, de nouveaux défis liés au changement climatique, à la numérisation, à l'évolution démographique, à la crise du logement, et à la géopolitique exigent une réponse vigoureuse. Ces évolutions offrent des opportunités, mais comportent aussi des risques d'exclusion sociale, de polarisation de l'emploi, ainsi que de détérioration des salaires et des conditions de travail.


Les Ministres, partenaires sociaux, et autres délégués ont discuté des politiques nécessaires pour renforcer la résilience des marchés du travail, du système social, et de l'économie dans l'UE face à des chocs imprévus. Ils ont mis l'accent sur le rôle crucial du dialogue social et ont souligné l'importance des politiques visant à renforcer l'égalité, notamment entre les hommes et les femmes, et des politiques ne laissant personne de côté.

Pénuries de main-d’œuvre, protection sociale et inclusion

Les Ministres et les autres participants ont eu des discussions plus approfondies dans le cadre de séances en petits groupes. Lors de la première séance, présidée par la Ministre wallonne Christie Morreale - en tant qu’« assesseur » officiel pendant la Présidence belge - les délégués ont examiné les défis croissants liés aux pénuries de main-d’œuvre dans l'UE. Les instruments politiques pour relever ce défi, notamment le rôle crucial des politiques de compétences, ont été mis en lumière, tout en insistant sur l'amélioration des conditions de travail dans les secteurs en pénurie.


Les autres sessions ont abordé le programme SURE, l’accès à la protection sociale, et l’importance des services sociaux de qualité. Les débats sur ces derniers ont révélé des défis tels que le manque de coordination, la diversité des assurances et normes de qualité, ainsi que des déficits de financement dans un contexte budgétaire tendu.

Par-delà les frontières

Les sessions plénières du vendredi 12 janvier ont porté sur les frontières de l'UE et au-delà, mettant en avant la nécessité de promouvoir les droits sociaux et du travail à l'échelle mondiale pour préserver le modèle social européen. L'élargissement de l'UE sera également abordé, avec l'objectif de favoriser le progrès social dans les pays candidats, tout en maintenant l'égalité des chances sociales dans le marché unique européen.

 

Pour plus d’informations sur cette première réunion informelle et les événements de la Présidence, consultez www.belgium24.EU

 

Toutes nos actualités en lien avec la Présidence sont à retrouver sur www.wbi.be/eu2024be

Bouton - en savoir plus

(c) Fotolia

Sous l’autorité de la direction, en collaboration avec l’équipe des responsables de programme, en étroite liaison avec les responsables thématiques, les services supports, et les équipes locales, dans une dynamique de gestion de la connaissance, le ou la Responsable juridique et administratif.ve participe à la gestion légale et administrative de l’association.

Retour au début

Descriptif de la mission

Gestion légale de l’association 
- Vérifier la bonne application de la loi relative à l’intégrité 
- Vérifier la bonne application du Code éthique de l’association 
- Vérifier la bonne application du RGPD 
- Vérifier la bonne application du Code des sociétés et des associations 
- Vérifier la bonne application de la loi relative à la coopération au développement 
- Vérifier la légalité des conventions de partenariat et de collaboration 
- Vérifier la légalité des contrats d’emploi 
- Appui et conseils juridiques au service support et géographique (dans toutes les tâches ayant des incidences juridiques)

Gestion administrative de l’association 
- Assurer l’organisation et le suivi des Instances de l’association 
- Assurer la gestion administrative des stagiaires 
- Contribuer à la constitution des dossiers administratifs en réponse aux appels d’offre/à proposition européen et/ou internationaux 
- Contribuer à la gestion des titres de transports nécessaires aux missions internationales 
- Déclarations UBO et suivi de la publication des nominations/démissions des membres du Conseil d’Administration au Moniteur belge, déclaration Regimand

Gestion contractuelle des RH Belgique 
- Rédaction des contrats de travail pour le siège et des coopérants de longue durée, conventions pour les missions de courte durée, documents divers relatifs aux contrats 
- Suivi administratif de l’engagement 
- Suivi de l’attribution du marché public « médecine du travail » 
- Vérification régulière de l’évolution de la législation dans la matière

Gestion RH locale 
- Harmonisation des procédures de recrutement 
- Participation au recrutement locaux 
- Rédaction des documents divers relatifs aux fins de contrats 
- Suivi des assurances à travers la gestion des risques

Gestion des risques juridiques 
Gestion et suivi des assurances 
Gestion des plaintes en matière d’intégrité 
Rédaction des instructions de travail

Retour au début

Qualifications requises

• Être titulaire d’un diplôme de master en droit reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles 
• Très bonne connaissance du Code des sociétés et des associations 
• Très bonne connaissance du RGPD 
• Bonne connaissance de la réglementation en matière de financements européens 
• Parfaite maîtrise de la langue française tant à l’écrit qu’à l’oral 
• Bonne capacité de rédaction 
• Capacité d’analyse et de synthèse 
• Bonne maîtrise des langues anglaise et néerlandaise 
• Parfaite maîtrise des logiciels bureautiques courants 
• Aptitude à la communication non violente 
• Assertivité 
• Être capable d’autonomie dans le respect de la réglementation de l’association 
• Être capable de travailler en équipe 
• Connaissance du secteur de la coopération au développement en Belgique 
• Connaissance de la réglementation internationale en matière de coopération internationale

Retour au début

Atout supplémentaire 

Un Master en droit public et international est un plus.

Retour au début

Expérience professionnelle requise 

Expérience d’au moins 2 ans en tant que juriste.
L’expérience au sein d’une structure active dans le secteur de la coopération internationale est un plus.

Retour au début

Nous offrons 

o CDR
o Barème A6 du Service Public de Wallonie
o Télétravail à 50%
o Chèques Repas
o Abonnement transport en commun
o Date début : dès que possible

Retour au début

Pour poser votre candidature

1. Être ressortissant de l’UE 
2. Une lettre de motivation mettant en évidence les éléments requis par le profil 
3. Un curriculum vitae au format européen 
4. D’une copie des diplômes requis par le profil 
5. Le cas échéant, d’une copie des attestations délivrées par les employeurs démontrant l’expérience professionnelle 

 

Les dossiers de candidature sont à adresser à Madame Pascale Delcomminette, Administratrice déléguée de l’APEFE, par voie électronique à l’adresse : candidatures@apefe.org avec la mention RJ012024 portée dans la rubrique « objet » du message.

 

Les dossiers incomplets ne pourront être retenus.

 

Les candidatures seront classées en fonction des critères définissant le profil. Les candidat.e.s retenu.e.s seront invité.e.s à passer une épreuve écrite, le 5 février 2024 et/ou une épreuve orale, le 8 février 2024.

 

Vous pouvez poser vos questions en appelant le numéro 02 421 83 82 ou par courriel à l’adresse candidatures@apefe.org.

 

Date limite de dépôt : 31 janvier 2024 à minuit.

 

Retrouvez l'offre détaillée en pièce jointe.
 

Retour au début

Sous l’autorité de la direction, en collaboration avec l’équipe des responsables de programme, en étroite liaison avec les responsables thématiques, les services supports, et les équipes locales, dans une dynamique de gestion de la connaissance, le ou la Responsable juridique et administratif.ve participe à la gestion légale et administrative de l’association.

Retour au début

Descriptif de la mission

Gestion légale de l’association 
- Vérifier la bonne application de la loi relative à l’intégrité 
- Vérifier la bonne application du Code éthique de l’association 
- Vérifier la bonne application du RGPD 
- Vérifier la bonne application du Code des sociétés et des associations 
- Vérifier la bonne application de la loi relative à la coopération au développement 
- Vérifier la légalité des conventions de partenariat et de collaboration 
- Vérifier la légalité des contrats d’emploi 
- Appui et conseils juridiques au service support et géographique (dans toutes les tâches ayant des incidences juridiques)

Gestion administrative de l’association 
- Assurer l’organisation et le suivi des Instances de l’association 
- Assurer la gestion administrative des stagiaires 
- Contribuer à la constitution des dossiers administratifs en réponse aux appels d’offre/à proposition européen et/ou internationaux 
- Contribuer à la gestion des titres de transports nécessaires aux missions internationales 
- Déclarations UBO et suivi de la publication des nominations/démissions des membres du Conseil d’Administration au Moniteur belge, déclaration Regimand

Gestion contractuelle des RH Belgique 
- Rédaction des contrats de travail pour le siège et des coopérants de longue durée, conventions pour les missions de courte durée, documents divers relatifs aux contrats 
- Suivi administratif de l’engagement 
- Suivi de l’attribution du marché public « médecine du travail » 
- Vérification régulière de l’évolution de la législation dans la matière

Gestion RH locale 
- Harmonisation des procédures de recrutement 
- Participation au recrutement locaux 
- Rédaction des documents divers relatifs aux fins de contrats 
- Suivi des assurances à travers la gestion des risques

Gestion des risques juridiques 
Gestion et suivi des assurances 
Gestion des plaintes en matière d’intégrité 
Rédaction des instructions de travail

Retour au début

Qualifications requises

• Être titulaire d’un diplôme de master en droit reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles 
• Très bonne connaissance du Code des sociétés et des associations 
• Très bonne connaissance du RGPD 
• Bonne connaissance de la réglementation en matière de financements européens 
• Parfaite maîtrise de la langue française tant à l’écrit qu’à l’oral 
• Bonne capacité de rédaction 
• Capacité d’analyse et de synthèse 
• Bonne maîtrise des langues anglaise et néerlandaise 
• Parfaite maîtrise des logiciels bureautiques courants 
• Aptitude à la communication non violente 
• Assertivité 
• Être capable d’autonomie dans le respect de la réglementation de l’association 
• Être capable de travailler en équipe 
• Connaissance du secteur de la coopération au développement en Belgique 
• Connaissance de la réglementation internationale en matière de coopération internationale

Retour au début

Atout supplémentaire 

Un Master en droit public et international est un plus.

Retour au début

Expérience professionnelle requise 

Expérience d’au moins 2 ans en tant que juriste.
L’expérience au sein d’une structure active dans le secteur de la coopération internationale est un plus.

Retour au début

Nous offrons 

o CDR
o Barème A6 du Service Public de Wallonie
o Télétravail à 50%
o Chèques Repas
o Abonnement transport en commun
o Date début : dès que possible

Retour au début

Pour poser votre candidature

1. Être ressortissant de l’UE 
2. Une lettre de motivation mettant en évidence les éléments requis par le profil 
3. Un curriculum vitae au format européen 
4. D’une copie des diplômes requis par le profil 
5. Le cas échéant, d’une copie des attestations délivrées par les employeurs démontrant l’expérience professionnelle 

 

Les dossiers de candidature sont à adresser à Madame Pascale Delcomminette, Administratrice déléguée de l’APEFE, par voie électronique à l’adresse : candidatures@apefe.org avec la mention RJ012024 portée dans la rubrique « objet » du message.

 

Les dossiers incomplets ne pourront être retenus.

 

Les candidatures seront classées en fonction des critères définissant le profil. Les candidat.e.s retenu.e.s seront invité.e.s à passer une épreuve écrite, le 5 février 2024 et/ou une épreuve orale, le 8 février 2024.

 

Vous pouvez poser vos questions en appelant le numéro 02 421 83 82 ou par courriel à l’adresse candidatures@apefe.org.

 

Date limite de dépôt : 31 janvier 2024 à minuit.

 

Retrouvez l'offre détaillée en pièce jointe.
 

Retour au début

Bouton - en savoir plus

(c) OIF

Dans le cadre du dispositif d’accompagnement à l’insertion professionnelle des jeunes apprenants formés par le projet « D-CLIC, formez-vous au numérique », l’OIF et Simplon Sénégal ont organisé une activité de réseautage D-CLIC Pro ce mercredi 13 décembre dans les locaux de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles de Dakar. 

 

Marquée par la présence d’une quinzaine d’entreprises, d’un agent de la Représentation de l’OIF pour l’Afrique de l’Ouest, du Délégué général de la Wallonie-Bruxelles au Sénégal, du Directeur national de la Francophonie au Ministère des Affaires étrangères et d’un Représentant de l’Office national de Formation professionnelle qui certifie les titres délivrés à l’issue de la formation, cet évènement a permis aux apprenants de présenter 4 projets collectifs.

 

8 professionnels expérimentés et reconnus de l’écosystème numérique sénégalais ont aussi exposé leurs parcours inspirants et prodigués des conseils et orientations aux jeunes. En outre, des séances d’entretiens ont été organisées entre des apprenants et des entreprises afin de les familiariser à ce type d’échanges professionnels et de permettre aux chasseurs de têtes de repérer les talents qu’ils pourraient recruter.

 

Il est à noter que ce réseautage D-CLIC Pro s’inscrit dans une série d’actions visant à faciliter l’insertion professionnelle de ces jeunes qui ont été formés en développement frontal (front-end) et dorsal (back-end). Le vendredi 1er décembre déjà, un atelier sur la prise de parole en public avait été organisé pour renforcer les compétences des jeunes dans ce domaine et leur permettre de mieux présenter leurs produits.

 

En 2022, 1300 jeunes (dont 51% de femmes) avaient été formés dans 10 pays grâce au programme « D-CLIC » de l’OIF. Avec la reconduction des formations dans quatre d’entre eux, auxquels s’ajoutent 4 nouveaux pays de déploiement (Burkina Faso, Mauritanie, Sénégal et Tchad), 1200 jeunes supplémentaires sont touchés par le projet en 2023.

 

Source: Organisation Internationale de la francophonie.

Dans le cadre du dispositif d’accompagnement à l’insertion professionnelle des jeunes apprenants formés par le projet « D-CLIC, formez-vous au numérique », l’OIF et Simplon Sénégal ont organisé une activité de réseautage D-CLIC Pro ce mercredi 13 décembre dans les locaux de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles de Dakar. 

 

Marquée par la présence d’une quinzaine d’entreprises, d’un agent de la Représentation de l’OIF pour l’Afrique de l’Ouest, du Délégué général de la Wallonie-Bruxelles au Sénégal, du Directeur national de la Francophonie au Ministère des Affaires étrangères et d’un Représentant de l’Office national de Formation professionnelle qui certifie les titres délivrés à l’issue de la formation, cet évènement a permis aux apprenants de présenter 4 projets collectifs.

 

8 professionnels expérimentés et reconnus de l’écosystème numérique sénégalais ont aussi exposé leurs parcours inspirants et prodigués des conseils et orientations aux jeunes. En outre, des séances d’entretiens ont été organisées entre des apprenants et des entreprises afin de les familiariser à ce type d’échanges professionnels et de permettre aux chasseurs de têtes de repérer les talents qu’ils pourraient recruter.

 

Il est à noter que ce réseautage D-CLIC Pro s’inscrit dans une série d’actions visant à faciliter l’insertion professionnelle de ces jeunes qui ont été formés en développement frontal (front-end) et dorsal (back-end). Le vendredi 1er décembre déjà, un atelier sur la prise de parole en public avait été organisé pour renforcer les compétences des jeunes dans ce domaine et leur permettre de mieux présenter leurs produits.

 

En 2022, 1300 jeunes (dont 51% de femmes) avaient été formés dans 10 pays grâce au programme « D-CLIC » de l’OIF. Avec la reconduction des formations dans quatre d’entre eux, auxquels s’ajoutent 4 nouveaux pays de déploiement (Burkina Faso, Mauritanie, Sénégal et Tchad), 1200 jeunes supplémentaires sont touchés par le projet en 2023.

 

Source: Organisation Internationale de la francophonie.

Bouton - en savoir plus

S'abonner à