Et pas seulement parce qu’elle est une des rares cheffes en Belgique à en avoir obtenu une et au passage, maintenu d’autres, mais parce qu’elle ouvre la voie et montre le chemin.
Française d’origine, belge de cœur et entrepreneuse née (il faut dire qu’au départ elle se destinait à la finance avant d’avoir le coup de foudre pour la cuisine), la cheffe a, en 2019 avec son associée Dominika Herzig , ouvert son propre restaurant éponyme « Isabelle Arpin ». Elle s’est aussi dotée d’un traiteur, « La Bonne Étoile », et vient de devenir la cheffe du CIAO, une adresse qui lui permet de soutenir de jeunes chefs émergents dans la gastronomie italienne.
Car elle est là, la touche d’Isabelle Arpin, la Arpiness comme on l’appelle : le goût du partage, le bonheur dans la générosité. Celle de sa cuisine surprenante et créative, celle qu’elle manifeste envers ses équipes qu’elle motive vers un toujours mieux et celle qui se traduit par son engagement social. Elle est marraine d’une école de cuisine pour enfants défavorisés à Bali, marraine de l’association Free go solidaire, soutien aux familles dans le besoin et réalisatrice de repas pour le personnel soignant durant la crise de la Covid. Un engagement salué dans le livre « Les héros du Coronavirus » dans lequel elle pose aux côtés du chef de l’Élysée, Guillaume Gomez.
Prochain défi, l’aventure Dinner in the sky, qui rapprochera encore un peu plus des étoiles cette fée gastronomique qui dit « qu’il faut aimer les gens pour faire la cuisine… » Décidément, les constellations sont alignées pour faire briller le talent de cette cheffe d’exception.
En savoir plus
https://www.isabellearpin.com/
https://www.facebook.com/restaurantisabellearpin
https://www.instagram.com/isabelle_arpin_chef/?hl=fr
https://www.instagram.com/restaurant_isabelle_arpin/?hl=fr
https://www.ciao-brussels.com/
Retour au débutLes Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles
WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.
Découvrez la série de portraits :
Retour au débutNos aides et services
Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…
Retour au débutEt pas seulement parce qu’elle est une des rares cheffes en Belgique à en avoir obtenu une et au passage, maintenu d’autres, mais parce qu’elle ouvre la voie et montre le chemin.
Française d’origine, belge de cœur et entrepreneuse née (il faut dire qu’au départ elle se destinait à la finance avant d’avoir le coup de foudre pour la cuisine), la cheffe a, en 2019 avec son associée Dominika Herzig , ouvert son propre restaurant éponyme « Isabelle Arpin ». Elle s’est aussi dotée d’un traiteur, « La Bonne Étoile », et vient de devenir la cheffe du CIAO, une adresse qui lui permet de soutenir de jeunes chefs émergents dans la gastronomie italienne.
Car elle est là, la touche d’Isabelle Arpin, la Arpiness comme on l’appelle : le goût du partage, le bonheur dans la générosité. Celle de sa cuisine surprenante et créative, celle qu’elle manifeste envers ses équipes qu’elle motive vers un toujours mieux et celle qui se traduit par son engagement social. Elle est marraine d’une école de cuisine pour enfants défavorisés à Bali, marraine de l’association Free go solidaire, soutien aux familles dans le besoin et réalisatrice de repas pour le personnel soignant durant la crise de la Covid. Un engagement salué dans le livre « Les héros du Coronavirus » dans lequel elle pose aux côtés du chef de l’Élysée, Guillaume Gomez.
Prochain défi, l’aventure Dinner in the sky, qui rapprochera encore un peu plus des étoiles cette fée gastronomique qui dit « qu’il faut aimer les gens pour faire la cuisine… » Décidément, les constellations sont alignées pour faire briller le talent de cette cheffe d’exception.
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Un collectif artistique qui, pour ne pas se laisser enfermer dans une case ou un style déterminé, investit l’espace public, mais aussi des lieux privés en quête d’un supplément d’âme.
Si les deux artistes de 40 ans se sont rencontrées à l’École nationale des arts visuels de La Cambre, la première partie de leurs carrières respectives les a menées vers des chemins différents : l’univers de la pub pour Cathy qui venait d’étudier le graphisme et l’Art Therapy pour Clarisse, diplômée en gravure et illustration, un temps, expatriée à Paris. « Cette ville m’a donné le goût du collectif et des projets réunissant plusieurs univers. De retour à Bruxelles, j’ai retrouvé Cathy. Notre collaboration s’est construite de manière très naturelle et tout s’est enchainé assez vite dans la construction de notre identité artistique commune. Nos premiers projets étaient cependant très confidentiels », confie l’artiste. « A l’époque, on travaillait au feutre Posca » poursuit Cathy en évoquant la vitrine du labo photos d’un ami à Ixelles : leur toute première œuvre en duo. Alors que le tandem travaillait sur ce projet, Clarisse et Cathy rencontrent les organisatrices de l’Affordable Art Fair qui leur confient la création d’une fresque destinée au couloir de la foire d’art contemporain. « Un vrai tremplin », précise Clarisse.
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Au pluriel et sans article
Cette fresque et celles qui ont suivi ont permis à Atelier Louves de poser les bases d’un projet que les deux artistes ont choisi de développer sans se mettre de barrière. « Ce qui nous plait dans l’art urbain, c’est son côté libre et ouvert. Quand vous investissez un espace, vous tentez de lui donner une nouvelle dimension tout en conservant votre identité et l’âme du lieu. On ne travaille jamais sur un thème en particulier. Ce qui nous intéresse, c’est d’explorer le potentiel de chaque support et de faire coexister des matières que tout oppose. Au fil du temps, nos œuvres sont devenues plus colorées. La notion de mouvement joue un rôle central dans notre démarche », poursuit Clarisse. Louves, écrit au pluriel, sans déterminant et sans article, évoque l’idée de rassemblement, « un autre élément qui guide notre démarche ». Comme lorsque le duo participe à la fresque de la station de métro Simonis à Bruxelles : un projet d’envergure réalisé pendant 10 nuits consécutives en collaboration avec d’autres artistes. « L’art urbain est un univers encore très masculin. Notre statut d’outsider dans ce milieu est une force et un véritable atout », précisent-elles.
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Carte blanche
En 2019, Atelier Louves s’invite pour la première fois dans une galerie. « Accrocher des toiles en petit format sur des murs blancs ne nous intéresse pas. Pour ce projet collectif commissionné par The Skate Room, nous avons peint sur des planches de skate, mais aussi profité de cette carte blanche pour déborder sur les murs de la galerie. Pour nous, cette notion de liberté et d’ouverture est essentielle », ajoutent les artistes qui, quelques jours après cette rencontre, vont s’emparer du mobilier urbain du skate park du quartier des Ursulines à Bruxelles. « Quand nous quitterons le lieu, l’œuvre ne nous appartiendra plus. Ce sont les utilisateurs du parc et les habitants du quartier qui se l’approprieront ». Entre les deux artistes, la connexion est évidente. La complicité aussi. Alors que Cathy envisage les projets dans leur globalité, Clarisse amorce chaque nouvelle œuvre en expérimentant différentes techniques, dont le collage. « L’avantage de travailler à deux, c’est qu’on ne s’arrête jamais à notre première idée. L’échange au sein de notre atelier, mais aussi avec nos clients ou d’autres artistes, nous pousse toujours plus loin dans notre réflexion ».
Par Marie Honnay
Cet article est issu de la Revue W+B n°157.
Retour au débutUn collectif artistique qui, pour ne pas se laisser enfermer dans une case ou un style déterminé, investit l’espace public, mais aussi des lieux privés en quête d’un supplément d’âme.
Si les deux artistes de 40 ans se sont rencontrées à l’École nationale des arts visuels de La Cambre, la première partie de leurs carrières respectives les a menées vers des chemins différents : l’univers de la pub pour Cathy qui venait d’étudier le graphisme et l’Art Therapy pour Clarisse, diplômée en gravure et illustration, un temps, expatriée à Paris. « Cette ville m’a donné le goût du collectif et des projets réunissant plusieurs univers. De retour à Bruxelles, j’ai retrouvé Cathy. Notre collaboration s’est construite de manière très naturelle et tout s’est enchainé assez vite dans la construction de notre identité artistique commune. Nos premiers projets étaient cependant très confidentiels », confie l’artiste. « A l’époque, on travaillait au feutre Posca » poursuit Cathy en évoquant la vitrine du labo photos d’un ami à Ixelles : leur toute première œuvre en duo. Alors que le tandem travaillait sur ce projet, Clarisse et Cathy rencontrent les organisatrices de l’Affordable Art Fair qui leur confient la création d’une fresque destinée au couloir de la foire d’art contemporain. « Un vrai tremplin », précise Clarisse.
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Au pluriel et sans article
Cette fresque et celles qui ont suivi ont permis à Atelier Louves de poser les bases d’un projet que les deux artistes ont choisi de développer sans se mettre de barrière. « Ce qui nous plait dans l’art urbain, c’est son côté libre et ouvert. Quand vous investissez un espace, vous tentez de lui donner une nouvelle dimension tout en conservant votre identité et l’âme du lieu. On ne travaille jamais sur un thème en particulier. Ce qui nous intéresse, c’est d’explorer le potentiel de chaque support et de faire coexister des matières que tout oppose. Au fil du temps, nos œuvres sont devenues plus colorées. La notion de mouvement joue un rôle central dans notre démarche », poursuit Clarisse. Louves, écrit au pluriel, sans déterminant et sans article, évoque l’idée de rassemblement, « un autre élément qui guide notre démarche ». Comme lorsque le duo participe à la fresque de la station de métro Simonis à Bruxelles : un projet d’envergure réalisé pendant 10 nuits consécutives en collaboration avec d’autres artistes. « L’art urbain est un univers encore très masculin. Notre statut d’outsider dans ce milieu est une force et un véritable atout », précisent-elles.
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En 2019, Atelier Louves s’invite pour la première fois dans une galerie. « Accrocher des toiles en petit format sur des murs blancs ne nous intéresse pas. Pour ce projet collectif commissionné par The Skate Room, nous avons peint sur des planches de skate, mais aussi profité de cette carte blanche pour déborder sur les murs de la galerie. Pour nous, cette notion de liberté et d’ouverture est essentielle », ajoutent les artistes qui, quelques jours après cette rencontre, vont s’emparer du mobilier urbain du skate park du quartier des Ursulines à Bruxelles. « Quand nous quitterons le lieu, l’œuvre ne nous appartiendra plus. Ce sont les utilisateurs du parc et les habitants du quartier qui se l’approprieront ». Entre les deux artistes, la connexion est évidente. La complicité aussi. Alors que Cathy envisage les projets dans leur globalité, Clarisse amorce chaque nouvelle œuvre en expérimentant différentes techniques, dont le collage. « L’avantage de travailler à deux, c’est qu’on ne s’arrête jamais à notre première idée. L’échange au sein de notre atelier, mais aussi avec nos clients ou d’autres artistes, nous pousse toujours plus loin dans notre réflexion ».
Par Marie Honnay
Cet article est issu de la Revue W+B n°157.
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40 ans, quel bel âge !
40 ans… Wallonie-Bruxelles International (WBI) fête les 40 ans de la diplomatie belge francophone. La Revue W+B ne pouvait évidemment pas passer à côté de cette célébration. L’occasion de revenir sur la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones et sur le chemin qui a mené à ce qu’est et ce que représente WBI aujourd’hui. En 40 ans, la diplomatie francophone n’a cessé de renforcer son soutien aux acteurs et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles avec comme objectif d’assurer le rayonnement des Francophones de Belgique sur la scène internationale. Plongez-vous dans ces 40 dernières années à travers un peu d’histoire et surtout beaucoup de témoignages !
Cet anniversaire, c’est aussi celui de la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles, de la promotion internationale du tourisme wallon et bruxellois et de la présence de la Wallonie et de Bruxelles au Québec, notamment à travers les nombreux projets jeunesse. Ça aussi, ça se fête !
On en profite également pour mettre un coup de projecteur sur quelques talents et opérateurs qui, depuis de longues années, oeuvrent au rayonnement de Wallonie-Bruxelles : les Centres Wallonie-Bruxelles à Paris et Kinshasa, le comédien, humoriste et auteur Bruno Coppens, les soeurs de Filles A Papa, le pionnier des vins effervescents Ruffus ou la société Spacebel. Merci à eux de représenter si fièrement la Wallonie et Bruxelles à l’étranger !
Cet anniversaire est aussi l’occasion de proposer une nouvelle formule de la Revue W+B, qui laisse plus de place aux textes et donne une plus grande visibilité aux photos, pour vous offrir une expérience de lecture améliorée. Nous espérons que cette nouvelle version vous plaira.
Au programme
- Dossier : Les 40 ans de la diplomatie belge francophone
- Culture : Un élan de 40 ans
- Portrait : La Terre Promesse de Bruno Coppens
- Jeunesse : Il ne faut plus les ailes d'un ange pour se rendre à Québec
- Coopération au développement : La coopération au développement, cette arme de construction massive
- Tourisme : Wallonie : 40 années de promotion de son tourisme à l'international
- Mode : Filles A Papa, une success story liégeoise soutenue par WBDM
- Entreprise : Ruffus, 20 ans et des milliards de bulles
- Innovation : La Wallonie, acteur majeur dans le domaine spatial et aéronautique
- Survols
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40 ans, quel bel âge !
40 ans… Wallonie-Bruxelles International (WBI) fête les 40 ans de la diplomatie belge francophone. La Revue W+B ne pouvait évidemment pas passer à côté de cette célébration. L’occasion de revenir sur la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones et sur le chemin qui a mené à ce qu’est et ce que représente WBI aujourd’hui. En 40 ans, la diplomatie francophone n’a cessé de renforcer son soutien aux acteurs et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles avec comme objectif d’assurer le rayonnement des Francophones de Belgique sur la scène internationale. Plongez-vous dans ces 40 dernières années à travers un peu d’histoire et surtout beaucoup de témoignages !
Cet anniversaire, c’est aussi celui de la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles, de la promotion internationale du tourisme wallon et bruxellois et de la présence de la Wallonie et de Bruxelles au Québec, notamment à travers les nombreux projets jeunesse. Ça aussi, ça se fête !
On en profite également pour mettre un coup de projecteur sur quelques talents et opérateurs qui, depuis de longues années, oeuvrent au rayonnement de Wallonie-Bruxelles : les Centres Wallonie-Bruxelles à Paris et Kinshasa, le comédien, humoriste et auteur Bruno Coppens, les soeurs de Filles A Papa, le pionnier des vins effervescents Ruffus ou la société Spacebel. Merci à eux de représenter si fièrement la Wallonie et Bruxelles à l’étranger !
Cet anniversaire est aussi l’occasion de proposer une nouvelle formule de la Revue W+B, qui laisse plus de place aux textes et donne une plus grande visibilité aux photos, pour vous offrir une expérience de lecture améliorée. Nous espérons que cette nouvelle version vous plaira.
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40 ans, quel bel âge !
40 ans… Wallonie-Bruxelles International (WBI) fête les 40 ans de la diplomatie belge francophone. La Revue W+B ne pouvait évidemment pas passer à côté de cette célébration. L’occasion de revenir sur la construction de la diplomatie des entités fédérées francophones et sur le chemin qui a mené à ce qu’est et ce que représente WBI aujourd’hui. En 40 ans, la diplomatie francophone n’a cessé de renforcer son soutien aux acteurs et aux valeurs de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles avec comme objectif d’assurer le rayonnement des Francophones de Belgique sur la scène internationale. Plongez-vous dans ces 40 dernières années à travers un peu d’histoire et surtout beaucoup de témoignages !
Cet anniversaire, c’est aussi celui de la coopération au développement de Wallonie-Bruxelles, de la promotion internationale du tourisme wallon et bruxellois et de la présence de la Wallonie et de Bruxelles au Québec, notamment à travers les nombreux projets jeunesse. Ça aussi, ça se fête !
On en profite également pour mettre un coup de projecteur sur quelques talents et opérateurs qui, depuis de longues années, oeuvrent au rayonnement de Wallonie-Bruxelles : les Centres Wallonie-Bruxelles à Paris et Kinshasa, le comédien, humoriste et auteur Bruno Coppens, les soeurs de Filles A Papa, le pionnier des vins effervescents Ruffus ou la société Spacebel. Merci à eux de représenter si fièrement la Wallonie et Bruxelles à l’étranger !
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Saviez-vous que le venin du Mamba noir a des propriétés analgésiques ? Que celui de l’araignée sauteuse australienne pourrait sauver des vies en cas de crise cardiaque ? Qu’on fabrique une colle chirurgicale à base du venin du serpent Fer de lance ?
Née cette année d’un crowdfunding, Zafi Cycles a trouvé en quelques mois ses investisseurs: des passionnés de cyclisme et de développement durable.
Le vélo est beau, il n’y a pas à dire, il "envoie du bois" et pour cause ! Son cadre est soit en frêne soit en noyer selon le choix du client, mais toujours issu de la Forêt de Soignes. "Le vélo, c’est pour promouvoir la mobilité douce, ça n’a pas de sens d’aller en acheter qui sont fabriqués au bout du monde." Vous l’aurez compris, Zafi Cycles c’est plus que des bicyclettes design: c’est un projet durable et éthique.
Passionnés de vélo et ingénieurs, Simon, Johan et Loïc ont réussi début d’année à convaincre 10 investisseurs de leur commander un Zafi Cycles (du nom du peuple malgache les Zafimaniry, spécialistes du travail du bois.) Cet élégant vélo "Gravel" (toute route) présente aussi des caractéristiques techniques appréciables: le bois absorbe bien mieux les vibrations que les matériaux traditionnellement utilisés et le "Zafi" a d’ailleurs passé haut la main les tests ISO. D’ailleurs, c’est sur un "Zafi" que Giorgio Fouarge est en train de réaliser un tour du monde en vélo, une belle confiance dans le travail accompli et une belle carte de visite pour la petite entreprise.
Car le concept plaît, les commandes affluent même si les Zafi Cycles ont un coût. Un coût qui se justifie par la volonté de Simon Malvaux, de continuer à grandir en restant aligné avec ses valeurs: du local bien géré (via la Sonian Wood Coop qui assure une gestion durable de la Forêt de Soignes), des salaires corrects pour tous les intervenants de la chaîne et une approche artisanale qui va à la rencontre des besoins du client. La preuve que l’on peut, sans réinventer la roue, créer des projets innovants et durables tant sur les plans écologiques et éthiques qu’économiques !
En savoir plus
https://www.facebook.com/zafi.cycles/
https://www.instagram.com/zafi.cycles/?hl=fr
Les Belges Histoires - Les talents de Wallonie-Bruxelles
WBI, en partenariat avec la RTBF, vous propose de découvrir les portraits de belges francophones qui font rayonner Wallonie-Bruxelles.
Découvrez la série de portraits :
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Nos aides et services
Wallonie-Bruxelles International vous aide à développer vos projets à l’international avec des formations, des coachings, des missions de prospections, des aides financières…
Retour au débutNée cette année d’un crowdfunding, Zafi Cycles a trouvé en quelques mois ses investisseurs: des passionnés de cyclisme et de développement durable.
Le vélo est beau, il n’y a pas à dire, il "envoie du bois" et pour cause ! Son cadre est soit en frêne soit en noyer selon le choix du client, mais toujours issu de la Forêt de Soignes. "Le vélo, c’est pour promouvoir la mobilité douce, ça n’a pas de sens d’aller en acheter qui sont fabriqués au bout du monde." Vous l’aurez compris, Zafi Cycles c’est plus que des bicyclettes design: c’est un projet durable et éthique.
Passionnés de vélo et ingénieurs, Simon, Johan et Loïc ont réussi début d’année à convaincre 10 investisseurs de leur commander un Zafi Cycles (du nom du peuple malgache les Zafimaniry, spécialistes du travail du bois.) Cet élégant vélo "Gravel" (toute route) présente aussi des caractéristiques techniques appréciables: le bois absorbe bien mieux les vibrations que les matériaux traditionnellement utilisés et le "Zafi" a d’ailleurs passé haut la main les tests ISO. D’ailleurs, c’est sur un "Zafi" que Giorgio Fouarge est en train de réaliser un tour du monde en vélo, une belle confiance dans le travail accompli et une belle carte de visite pour la petite entreprise.
Car le concept plaît, les commandes affluent même si les Zafi Cycles ont un coût. Un coût qui se justifie par la volonté de Simon Malvaux, de continuer à grandir en restant aligné avec ses valeurs: du local bien géré (via la Sonian Wood Coop qui assure une gestion durable de la Forêt de Soignes), des salaires corrects pour tous les intervenants de la chaîne et une approche artisanale qui va à la rencontre des besoins du client. La preuve que l’on peut, sans réinventer la roue, créer des projets innovants et durables tant sur les plans écologiques et éthiques qu’économiques !
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Si Valérie Barkowski sème son style un peu partout dans le monde, enchainant les chantiers de New York à Marrakech et créant marques et concepts dans de nombreux pays, c’est aussi dans le monde et ses cultures et techniques ancestrales que Valérie puise son inspiration.